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Sujet cinéma

Démarré par stef, 3 Mar 2011, 19:35

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Tetouchaud

Vu hier Je veux manger ton pancréas. J'ai été ému comme rarement devant un film, la relation entre les deux personnages principaux est absolument magnifique et indéfinissable (beaucoup plus intense qu'une simple amitié sans pour autant tomber dans l'amour).
"Si un jour tu doutes, si tu as peur, que l'avenir te paraît sombre et que tu ne sais plus vers qui te tourner, fais comme les bulles de savon, dirige-toi toujours vers la lumière."

Marie Vareille, "Ainsi gèlent les bulles de savon".

The Phenom

Citation de: Maurice le 10 Mar 2021, 09:03
Citation de: The Phenom le 10 Mar 2021, 07:53
The Witch in the Window

J'hésite toujours aujourd'hui de regarder un film de fantômes parce que c'est devenu le festival du jump scare dans la majorité des cas, alors l'idée d'un film plus dramatique comme celui là m'a intéressé. Je pense que le film fonctionne beaucoup mieux en tant que film dramatique que film d'horreur et le mélange est correct sans plus. Un petit film manifestement indé qui avec ses petits moyens s'en sort honorablement.

Comme film de fantôme qui ne repose aucunement sur les jump scares (tout à fait l'opposé en fait), je te recommande A Ghost Story ! Une très belle surprise ce film.

Oui, j'ai vu, très beau film.

Avec une scène de tarte mémorable.

Maurry Christmas!

Citation de: Tetouchaud le 10 Mar 2021, 15:57
Vu hier Je veux manger ton pancréas. J'ai été ému comme rarement devant un film, la relation entre les deux personnages principaux est absolument magnifique et indéfinissable (beaucoup plus intense qu'une simple amitié sans pour autant tomber dans l'amour).

Ça l'air bien intéressant et très jolie, j'y le regarderai prochainement !

Citation de: The Phenom le 11 Mar 2021, 02:40
Citation de: Maurice le 10 Mar 2021, 09:03
Citation de: The Phenom le 10 Mar 2021, 07:53
The Witch in the Window

J'hésite toujours aujourd'hui de regarder un film de fantômes parce que c'est devenu le festival du jump scare dans la majorité des cas, alors l'idée d'un film plus dramatique comme celui là m'a intéressé. Je pense que le film fonctionne beaucoup mieux en tant que film dramatique que film d'horreur et le mélange est correct sans plus. Un petit film manifestement indé qui avec ses petits moyens s'en sort honorablement.

Comme film de fantôme qui ne repose aucunement sur les jump scares (tout à fait l'opposé en fait), je te recommande A Ghost Story ! Une très belle surprise ce film.

Oui, j'ai vu, très beau film.

Avec une scène de tarte mémorable.

Cette scène est en effet incroyable.

Tetouchaud

Citation de: Maurice le 11 Mar 2021, 06:37
Citation de: Tetouchaud le 10 Mar 2021, 15:57
Vu hier Je veux manger ton pancréas. J'ai été ému comme rarement devant un film, la relation entre les deux personnages principaux est absolument magnifique et indéfinissable (beaucoup plus intense qu'une simple amitié sans pour autant tomber dans l'amour).

Ça l'air bien intéressant et très jolie, j'y le regarderai prochainement !

Je t'y encourage férocement!! Je viens d'ailleurs de commander le roman dont est tiré le film
"Si un jour tu doutes, si tu as peur, que l'avenir te paraît sombre et que tu ne sais plus vers qui te tourner, fais comme les bulles de savon, dirige-toi toujours vers la lumière."

Marie Vareille, "Ainsi gèlent les bulles de savon".

The Reg

77 films ce mois-ci, ça peut aller.

Les Casse-Pieds   1948
La femme enfant   1980
37°2 le matin   1986
Les choses qu'on dit les choses qu'on fait   2020
La bonne épouse   2020
Nos 18 ans   2008
Récit d'un propriétaire   1947
Sliver   1993
Chez moi   2020
La cravate   2020
Effacer l'historique   2020
Une sirène à Paris   2020
Le goût de la haine   2020
Eté 85   2020
La cible vivante   1945
L'amant de cinq jours   1961
Tout simplement noir   2020
Le tournoi   2015
Notre dame   2019
Un homme est passé   1954
Cent francs par secondes   1953
Zarafa   2012
La plage déserte   1953
Un autre homme, une autre chance   1977
Le facteur sonne toujours deux fois   1981
Extravagance   1930
Un homme et une femme 20 ans déjà   1986
Les Chasses du comte Zaroff   1932
Les morts-vivants   1932
Young and Beautiful   1934
Zouzou   1934
Viva la vie   1984
Interstate 60   2002
Mémoire d'un flic   1956
Les mystères de Paris   1962
Chasse à l'homme   1941
Piranha 3d   2010
Je suis une légende   1964
La loi des hommes   1962
Les gros malins   1969
Deux   2019
Par la fenêtre   1948
L'Invraisemblable Vérité   1956
L'appel de la forêt   2020
Le diabolique docteur Mabuse   1960
Les contrebandiers de Moonfleet   1955
Le retour de Frank James   1940
Madame Butterfly   1919
Max mon amour   1986
Piège intime   1996
Assassin's creed   2016
Basic instinct 2   2006
Mort à l'arrivée   1988
Angel   2007
La cinquième victime   1956
Printemps à Paris   1957
Rebel   1970
The Little Stranger   2018
Adieu, ma jolie   1975
Stardust Memories   1980
L'homme du sud   1945
Au fil de l'eau...   1950
Les Trois Lumières   1921
Nos années folles   2017
Impardonnables   2011
La rue rouge   1945
Les innocents   1987
La fille du RER   2009
Les égarés   2003
Braquage à l'ancienne   2017
Les temps qui changent   2004
Souvenirs d'en France   1975
La main du diable   1943
Pétain   1993
SherryBaby   2006
Fritzi   2019
Calamity, une enfance de Martha Jane Cannary   2020
Piranha 2 3D   2012


J'ai fait un rattrapage de films de 2020, de Fritz Lang, André Téchiné, Charlotte Rampling.

Je conseille notamment L'invraisemblable vérité (1956) de Fritz Lang, était excellent, comme souvent avec Fritz Lang. Un film judiciaire  très bien ficelé où un homme se fait accuser d'un crime volontairement en fabriquant les preuves l'incriminant, pour dénoncer la peine de mort par erreur (comptant dévoiler le pot aux roses à la fin). Je me suis dit au fur et à mesure que je le voyais "mais ça me dit quelquechose cette intrigue", j'ai réalisé que j'avais vu le remake, qui était sympa, mais pas aussi bieng.

Ou encore Chez moi (2020) un thriller espagnol disponible sur Netflix. Un type qui adore son ancien appart mais doit le quitter pour des raisons financières se prend à rêver faire partie de la famille qui y a emménagé... avant d'aller plus loin que le rêve et tout faire pour prendre la place du père de famille.

Dans les films primés aux César, je mentionnerais entre autres Tout simplement noir (2020) qui est une bonne (bien qu'un brin inégale) comédie satirique sur le racisme. Tellement de comédies se sont plantées avec ce sujet, mais là c'est réussi, Zadi lui-même est excellent.

The Phenom

#10340
NIGHT OF THE LIVING DEAD (1968)

Un film-clé dans l'histoire du cinéma d'horreur. Il est à l'origine d'un genre horrifique très populaire : les films de zombies. Pourtant ce thème avait déjà été abordé dans d'autre films mais celui-ci se démarque nettement de ses prédécesseurs grâce à quelques détails majeurs qui deviendront des éléments incontournables des films de zombies.

Le film n'est pas parfait, d'ailleurs je trouve que Johnny parait extrêmement faible sur sa façon de mourir au point que c'est presque comique, mais c'est quand même facile de comprendre pourquoi le film est si important. Romero montre ce qu'il sait faire avec un budget de seulement 114 000 $ et ce fait un nom.

La critique sociologique de la société américaine, thème cher au réalisateur, n'est pas très développée mais certains éléments de l'histoire ont dû choquer à l'époque. Le chef de la bande des survivants est Ben, un black autoritaire qui ne se laisse pas faire. Ce dernier donne des ordres et maltraite les survivants blancs. C'est un détail tout à fait anodin aujourd'hui mais qui, à l'époque, dénonçait toutes les tensions raciales dans le pays.

Romero a donc sans doute voulu remettre les pendules à l'heure en créant cet héros noir donnant des ordres à des blancs lâches. Cet élément du film à lui seul fait en sorte que ce film n'est pas un banal film d'horreur.

Night of the Living Dead est un film historique qui ne peut que mériter le statut de chef d'oeuvre malgré ses imperfections. Certes, ce n'est pas encore le Romero flamboyant de la grande époque mais la qualité de l'oeuvre, au vu des faibles moyens accordés, font de ce film un petit bijou du cinéma d'horreur.

Maurry Christmas!

Message 1/3

Citation de: Maurice le  6 Mar 2021, 01:35
Vu le temps que ça m'a pris d'écrire ce message, pas certain que je referai ça le mois prochain :D

Je vais quand même le faire, je trouve ça cool de partager cela avec vous ! Encore une fois, j'ai peut-être oublié quelques films dans le tas, mais je crois qu'ils sont tous là et si vous voulez voir au jour le jour quand est-ce que je visionne des films (ainsi que des remarques impertinentes souvent motivées par mon dégoût pour d'autres commentaires), mon compte sur l'appli Letterboxd c'est MauriceR


La Nuit Américaine (1973) : Film de Truffaut où il partage son amour pour le cinéma et romantise le processus de création avec des effets techniques impressionnants et du marivaudage entre personnages. J'apprécie l'effort et c'est captivant de voir comment ils ont filmé beaucoup de scènes, mais la façon dont le processus de production de film est présenté ne m'a pas charmé. C'est romantisé à un point où ça m'a juste fait sortir de l'intrigue, car les personnages ne résonnaient pas du tout avec moi. Le tout est trop irréaliste et ne présente qu'un certain type de film. Dommage, mais je comprends pourquoi ce film est considéré comme un classique.


Blue Ruin (2013) : Film d'action que les gens ont beaucoup aimé, en plus il a été réalisé par Jeremy Saulnier qui a fait l'excellent Murder Party quelques années avant. J'avais bien hâte de voir ce film, donc l'inévitable est arrivé, j'ai été déçu. Je n'ai juste pas trouvé que le film avait beaucoup de substance, puis le style était vachement trop simpliste pour que je trouve ce que je regarde à l'écran intéressant. C'est un film d'action qui tente de tenir de le public en haleine de toutes les façons, mais le message est bien trop simple à mon goût. Au moins, ce n'est pas une œuvre dénuée de sens, puis je peux bien concevoir que certaines personnes puissent l'aimer, mais ce n'est pas mon truc.


Harmontown (2014) : Documentaire sur Dan Harmon et sa tournée/podcast ''Harmontown''. J'ai trouvé ça bien intéressant ! C'est rigolo et souvent choquant, Dan Harmon n'a vraiment l'air de quelqu'un avec qui j'aimerais bosser, mais c'est vraiment une drôle d'aventure et j'apprécie le fait que des personnes aient pris l'effort de capturer cette période de la vie de ce comédien.


Isle of Dogs (2018) : Je n'aime pas Wes Anderson, mais ses deux films en stop-motion me plaisent. Dans mes souvenirs, Fantastic Mr. Fox était un chef-d'œuvre et Isle of Dogs était sympa, mais en les renvoyant l'an passé, j'ai trouvé Fantastic Mr. Fox juste correct et Isle of Dogs très bien. En revoyant Isle of Dogs il y a quelques semaines, j'ai ressenti la même chose que l'an passé, ce film m'a beaucoup plu. C'est drôle, c'est rythmé, c'est pertinent, les hommages au cinéma japonais sont super cools et de manière générale, c'est une excellente œuvre à montrer aux enfants (peu importe le rating).


The Hamiltons (2006) : Film d'horreur très cheap. Je n'ai rien contre le fait que ce soit filmé de façon si cheap, vu que c'est un projet très amateur sans budget, mais l'histoire m'a semblé très cheap aussi. Les dialogues ont tué le film, l'ambiance ne marchait juste pas.


Le Voleur de bicyclette (1948) : Un classique du cinéma et je comprends totalement pourquoi. C'est une œuvre associée au néoréalisme italien et avec une histoire ridiculement simple, on voit la profondeur des dures conditions de l'après-guerre. C'est un film très humain, bien rythmé, offrant de très jolies plans et la fin est encore à ce jour vraiment choquante, car c'est malheureusement ça le monde...


La muerte de un burócrata (1966) : Après l'Italie, on se dirige à Cuba pour voir une grosse satire de la bureaucratie. J'adore l'histoire de ce film, par contre, l'humour un peu ''goofy'' m'a pas toujours plu. Les géants hommages à des tonnes d'œuvres et artistes étaient incroyables, mais ça rendait le film un peu inconsistant. J'avais de la misère à vraiment être triste, joyeux ou en colère, car on varie trop entre ces trois émotions. Cela est totalement compréhensible compte tenu du contexte, mais pour un film si court, ça m'a un peu sorti de l'expérience. Ça reste un très bon film, hein, à voir si vous voulez explorer un autre endroit à une autre époque.


Before Sunrise (1995) : Je me suis enfin lancé dans cette trilogie de Linklater et j'ai adoré ce premier opus. La dynamique entre les persos (aussi imparfaits qu'ils soient) était géniale, la façon dont la romance était capturée était super originale (autant visuellement qu'au niveau du développement de leur première journée ensemble) et j'ai vraiment eu l'impression de visiter l'Autriche avec eux. Quel super film. Ethan Hawke et Julie Delpy :-*


Le Roman de Renard (1937) : J'avais déjà parlé de ce film le mois passé, donc je ne vais pas insister sur celui-ci. Je l'ai revu, ça m'a beaucoup plu, à voir si vous êtes intéressé par le monde de l'animation.


Le chômeur de Clochemerle (1957) : C'est un film que j'aurais aimé découvrir plus tôt. Je l'ai trouvé vraiment rigolo, le concept m'a vraiment enchanté. J'avais un sourire sur mon visage tout le long.


Avengers: Endgame (2019) : Les films de Marvel ne sont pas des trucs qui se revoient bien. Pour Endgame, je l'ai vu une fois pendant la craze, j'en ai parlé avec des amis, on a eu un bon moment et c'est pas mal ça. C'est un peu comme un manège dans un parc d'attraction comme dirait l'autre. En renvoyant ce film, putain quoi, j'ai eu l'impression d'avoir été pris pour un bébé et d'avoir assisté à 3 heures de secouage de clés. Tout est manufacturé pour distraire les gens. La première scène m'a plu, ça prend son temps, c'est nerveux et ça marche bien pour donner un ton au film, mais après ça, ça part en vrille. La caméra bouge tout le temps pour que les gens payent attention à tout, alors que les personnages parlent comme des persos d'un mauvais feuilleton. Le scénario est du grand n'importe quoi. Le coup du voyage du temps est une idée misérable, mais pourquoi pas si ça mène à des situations intéressantes, le truc c'est que là, quand c'est pas du fan-service forcé ou des répliques fabriquées pour être des tendances sur les réseaux sociaux (donc faire de la pub à la compagnie), c'est des scènes vraiment connes seulement là pour donner de la ''variété'' au film, que ce soit visiter d'autres planètes ou introduire des acteurs de d'autres races (genre la scène sur la planète où Thanos a tué sa fille adoptive ou la scène où machin tue un gangster à Tokyo). L'esthétique du tout m'a vraiment mis de travers. J'ai mentionné les mouvements de caméra, mais j'en fais une couche, c'est insupportable. C'est vraiment dommage, car j'aime le concept d'avoir un monde post-apocalyptique où tout le monde souffre de la perte de l'autre moitié. J'aime aussi l'idée de tuer le grand méchant dans les 20 premières minutes. Et là, je n'ai même pas parlé de la pire partie... La bataille finale. Putain quoi... Les gens ne peuvent pas regarder ça et trouver ça beau, je n'arrive pas à y croire si c'est le cas. On dirait que des ordinateurs ont vomis sur des fonds verts. Tellement de trucs sont n'importe quoi dans cette bataille. Il y a des moments de tensions et des bouts ''touchants'' (comme quand Iron Man donne un câlin à Spidey) interrompus par des blagues de Gamora qui donne un coup de pied dans les couilles de Star Lord. Il y a aussi la scène forcée où les femmes sont réunies et ne font rien... Aussi, il y a Captain Marvel qui fait je-ne-sais-quoi, parce qu'elle peut tout faire, même si je ne comprends même pas ses pouvoirs après avoir vu son film. Il faut dire qu'à ce point-ci du long-métrage, mon cerveau est assez en bouilli pour ne plus porter attention au fait que Captain America porte le marteau de Thor pour aucune vraie raison (à part un call-back à Age of Ultron, je crois ?) Les bons côtés de cette bataille, c'est la façon dont la caméra Imax était utilisée. Le focus était sur plein d'endroits en même temps, ce qui justifie totalement son utilisation. On a des angles très intéressant et on voit les réflexions qu'il y a eu pour capturer l'action. Donc ouais, je n'ai pas aimé ce film, mais c'est ça les films Marvel, des trucs distrayants. Ça marche la première fois quand on est influencé par les pubs et le fait que tout le monde en parle, mais après ça, ça fait mal à regarder. Même si ce ne sont pas de super films, je trouve que les seuls films du MCU qui seraient corrects à revoir c'est le premier Iron Man, les deux Guardians of the Galaxy et peut-être Winter Soldier.


Before Sunset (2004) : La suite de Before Sunrise se déroulant 9 ans après. C'est une excellente suite. Ça m'a bien surpris de voir ce qui s'est passé pendant ces neuf années, les dialogues sont excellents et la fin me fait presque rougir. Je dirais que c'est peut-être le moins bien de la trilogie, mais de peu. C'est juste un film plus court qui a un peu moins de ''but'' que les autres.


Tyrus : The Tyrus Wong Story (2015) : Documentaire sur un artiste chinois ayant travaillé sur Bambi. C'est assez classique comme documentaire, mais ça reste une histoire vraiment intéressante et l'artiste est impressionnant.


The Problem with Apu (2017) : Tellement de raccourcis sont utilisés pour créer un dossier contre Apu et ce que le personnage peut symboliser. Connaissant bien la série, je sais que certaines informations que Kondabolu dit ne sont pas totalement vraies et que le tout est monté de façon manipulatrice pour provoquer une réaction qui n'aidera pas réellement le problème qu'il dénonce, mais aura pour effet de lui donner un pouvoir de diffusion. Il cherche à se faire entendre quoi. Étant une minorité moi même et m'étant aussi fait appelé Apu, je trouve l'approche misérable. Une grosse partie du film c'est une compilation de gens de couleurs qui disent qu'ils ont été blessé par des stéréotypes raciaux. En effet, mais quand tu adresses un sujet aussi vaste, tu ne peux pas tout mettre dans la même catégorie. L'interview avec Whoopi Goldberg est le parfait exemple de cela, car elle émet un jugement contre quelque chose qu'elle ne connaît pas assumant que c'est soit noir/soit blanc sans prendre la peine d'analyser ou juger la vision artistique derrière ce qu'elle critique. Le problème avec ''The Problem with Apu'' c'est que c'est un documentaire qui prend son public pour des idiots. À la place d'éduquer les masses, il leur crache des opinions à la gueule, ce qui ne va certainement pas les rendre moins ignorants. Mon dieu que je cringe au moment où il réagit au courriel de Hank Azaria. Sa réponse est tout à fait raisonnable, tu fais un documentaire professionnel et t'as besoin d'un acteur dedans, bien sûr qu'il va se soucier de la façon dont il va être présenté, il est drôle Hari.


Miller & Fried – The Birth of Football's Country (2016) : Documentaire brésilien sur le foot. Pas un fan de foot, donc ça ne m'a vraiment pas marqué, mais c'est bien de voir la perspective d'un autre pays sur le sujet. C'est une belle façon de partager sa passion.


Before Midnight (2013) : C'est la fin de la trilogie ''Before'' et quelle fin ! Mon dieu que c'était génial, c'était les disputes de couple les plus convaincantes que j'ai vu. C'est incroyable comment la caméra est utilisée pour nous donner du recul, c'est quelque chose qui serait tellement pratique dans la vraie vie, haha.


Pather Panchali (1955) : C'est le premier opus de l'incroyable trilogie indienne The World of Apu et c'est un film touchant. La réalité de ce pays à cette époque est merveilleusement bien capturée et la fin, puis ce qu'elle représente, est logique et d'une beauté incomparable. Je n'ai pas encore revu les deux autres opus, mais ce mois-ci, peut-être !


Boy & the World (2013) : Le meilleur film que j'ai vu ce mois-ci. Si vous ne l'avez pas vu, regardez-le, c'est un incroyable film d'animation brésilien (avec très peu de dialogue). Je n'ai rien à redire, c'est un chef-d'œuvre qui parle pour lui-même.


Lonely in America (1990) : Film incroyablement cheesy des années 80-90. En gros, un indien ne veut plus bosser avec son père dans un centre commercial. Il veut bosser dans une compagnie informatique, se trouver une nana et devenir un vrai américain. Cool cool... Les persos sont tous des clichés comme pas possible, les situations sont tellement prévisibles que vous pouvez vous les imaginer sans voir le film et il y a juste une aura malsaine qui se dégage de voir des personnages aussi déplaisants commettre des actes qui le sont autant. Spike Lee fait un caméo par contre, car il est copain avec le réalisateur. Film oubliable.


Stay Alive (2006) : Film d'horreur merdique des années 2000 dont les gens sont nostalgiques aujourd'hui pour je ne sais quelle raison. Il y a quelques idées qui divertissent deux secondes, mais c'est surtout une excuse pour utiliser le jeu vidéo comme un argument de vente pour un film. Tu mets deux-trois visages connus dedans et tu te retrouves avec un succès au box-office. Ça me rend bien triste tout ça. Au moins, on peut maintenant dire que Disney a un slasher !


The Gauntlet (1977) : Film d'action policier avec Clint Eastwood assez maladroit. Ils essayent tellement de rendre les personnages cools que ça en devient drôle, du moins, au début, après, j'étais juste lassé. Au moins, le style était très consistant et ils ont utilisé les options qui s'offrent avec le scénar.


Seb en Papouasie : la vraie aventure (2019) : Seb la frite, youtuber que je ne suis pas et dont je n'avais pas entendu parler depuis 2013, mais je suis allé en Papouasie, donc ce docu a piqué ma curiosité. C'était +/- bien. Le style est beaucoup trop léché pour correspondre aux codes établis par les autres stars de l'internet qui se prennent pour je ne sais pas qui vu que des millions les suivent, mais les moments capturés dans la nature et avec les natifs sont bien intéressants. J'ai particulièrement aimé le bout dans le cave ;D


Memorias del subdesarollo (1968) : Du même réalisateur que La muerte de un burócrata, mais ce film a un ton totalement différent. Ce film a une approche philosophique à la vie, aux classes et aux idéologies, puis déconstruit le pays de Cuba pour voir comment ils en sont arrivés à cette crise que ne concerne même pas les habitants. J'aime beaucoup le fait que ça se concentre sur l'individu (qui, à ce que je comprends, est un alter-ego du réalisateur), donc l'analyse du personnage est très profonde. C'est fou ce qu'un film d'une heure et demie peut offrir.


Vladimir et Rosa (1971) : Film issu de la période Dziga Vertov de Jean-Luc Godard. Ce film parle des Chicago Seven (je sais qu'il y a actuellement en salle un film sur le sujet, mais il ne m'intéresse vraiment pas) tout en ce moquant des limitations du cinéma quand il s'agit de capturer ce qui est réel, c'est-à-dire la douleur de la violence infligée aux jeunes, aux noirs et aux libertaires, ainsi que les plaisirs et la liberté des jeunes (notamment sexuelle). Je trouve que c'est un film très couillu, j'adore comment il se moque du médium, le titre même a été choisi simplement pour piéger la télé allemande à financer leur long-métrage. C'est un film incompris. Il est soit vu avec indifférence totale ou avec un regard sec à cause de la scène où Godard apparaît en policier et fait le clown. Les gens prennent ça bien trop au sérieux, le film a un message clair à transmettre et il le transmet, même si la farce est sur le public.

Maurry Christmas!

#10342
Message 2/3

Jeanne Dielman, 23, quai du Commerce, 1080 Bruxelles (1975) : Un argument pourrait être fait qu'un film féministe est un film où ce qu'il se passe ne pourrait qu'arriver aux femmes. Bien évidemment, c'est plus complexe que cela, mais vous voyez l'idée. Jeanne Dielman est un des films féministes les plus connus, car il s'agit d'une des œuvres les plus importantes de l'histoire du cinéma. C'est un film de presque 4 heures, il me semble, où nous voyons en long, en large et en travers la routine ménagère d'une femme vivant à Bruxelles avec son fils de 16 ans. Elle se lève, elle fait le petit-déj, elle nettoie toute la maison, elle prend son café et pendant que son fils est à l'école, elle fait venir des clients chez elle pour coucher avec elle pour de l'argent. On connaît la routine par coeur à un certain point, les set-ups de caméra sont les mêmes et les dialogues se répètent presque. Cela fait donc un choc quand il y a le moindre changement dans sa routine. Il y a quand même dans tout ça de l'humour très méta, ce qui aide à faire passer certains trucs, comme la fin qui prend par surprise. C'est incroyablement frustrant, mais c'est tellement pertinent que l'ennui ne règne jamais. Quand tu t'intéresses au cinoche, tu apprends vite que ce n'est pas parce qu'un film est frustrant qu'il est mauvais, Week-End de Godard en est un bon exemple. Ce que je vois en ce film, c'est que la répétition est volontairement frustrante, ce qui ne me fait pas détester le film, mais me met en colère contre le système, puis cela me fait sourire qu'un film puisse avoir cet effet sur moi, ce qui créé par la suite une grande appréciation pour l’œuvre que je regarde. C'est un excellent film, si vous êtes ouvert d'esprit et que vous vous sentez d'humeur à découvrir la pierre angulaire du cinéma féministe, allez-y.


The Magic Pony (1975) : Film d'animation russe pas aussi nunuche qu'il en a l'air. L'histoire est très bateau, mais l'animation est enjôleuse, surtout quand on prend en considération le contexte de l'époque.


Le genou de Claire (1970) : Mon dieu que ça me manque de voyager :'( Ce film est d'une incroyable beauté. Les romances à la Rohmer, que c'est magique, puis tous les personnages étaient géniaux. Des super personnages prononçant des jolies paroles dans un sublime setting, que demander de plus. J'ai adoré.


A Hard Day’s Night (1964) : Film qui est considéré comme un classique, mais il ne m'a pas plu du tout. J'aime beaucoup la musique des Beatles, mais je ne suis pas fan de la glorification de qui que ou quoique ce soit, donc c'est clair que quand l'intégralité du film c'est de donner un air cool aux Beatles, ça ne va pas marcher avec moi. En gros, c'est les Beatles qui sont cools et qui ont tous leur ''personnalité'', le tout parsemé de moments de comédie bouffonne et de chansons qu'on connaît tous très bien. Cool, cool... Je n'ai pas accroché.


Diary of a Lost Girl (1929) : Film muet plutôt mémorable, notamment grâce à la performance quasi hypnotique de Louise Brooks. C'est fou ce que ce film pouvait dire sur la condition féminine, c'est une œuvre bien en avance sur son temps !


Jurassic Park (1993) : Ça faisait très longtemps que je n'avais pas vu Jurassic Park, je ne savais pas si j'allais encore aimer le film, et bien rassurez-vous, je n'ai pas de hot take. Jurassic Park, c'est vraiment bien ! C'est ce que j'appelle un bon blockbuster. Les dinosaures, ils déchirent, les scènes qui auraient pu être les plus mondaines jouent avec l'aspect que Spielberg voulait clairement offrir un spectacle au public, donc ça en jette, mais le film reste simple sur les points qui doivent le rester. Par là je veux dire que le film n'insiste pas sur lui-même, il emprunte beaucoup au film d'horreur pour faire survivre des personnages à des situations terrifiantes, puis ça s'arrête, sans épilogue ni rien. Je trouve ça super. Ce qui m'intéresse beaucoup dans ce film, c'est son côté méta. Le vieux monsieur représente clairement Spielberg et ses envies, puis le résultat est ce qu'est devenu le monde du cinéma après ses gros succès à la fin des années 70 et au début des années 80. Ça se voit particulièrement lorsqu'on observe la quantité de marchandise de Jurassic Park qui est présente dans le film. Cela rend cette fin bien simple d'autant plus intéressante. Après, ce n'est pas un film parfait, loin de là. Sam Neill a l'air de réciter ses répliques devant un miroir, on a pas l'impression qu'il interagit avec les autres, Jeff Goldblum surjoue d'une façon très différente des autres persos, ce qui ne le rend pas vraiment attachant à mes yeux, les scènes avec le gars de Seinfeld sont un peu trop ridicules à mon goût, les persos sont un peu trop stupides des fois (notamment les enfants), les enfants survivent à bien trop de trucs et ont une force surhumaine (la fille pousse la porte sur un dino qui court), puis le deus REX machina à la fin, haha.


Minari (2020) : Film nominé aux oscars qui me tentait depuis un bout. Ce n'est pas extraordinaire, mais ça m'a plu. On suit une famille coréenne qui emménage en Arkansas et qui a globalement de la difficulté à s'adapter. Le père a un rêve qui ne semble pas correspondre avec la vie que sa femme veut vivre, la mère est très religieuse (l'histoire des missionnaires chrétiens en Corée du Sud est dégueux, mais ils ont réussi leur mission), la grand-mère doit vivre avec eux, car ça ne va pas trop bien niveau santé, la fille n'a pas beaucoup de personnalité ni d'ami et le fils n'aime vraiment pas la grand-mère coréenne, car il est américain. Malgré une situation familiale assez difficile, le film capture la beauté de la nature et de grandir aux États-Unis entouré de gens aussi variés, mais le fait par le prisme de la religion qui est un gros élément du film, dont il est subtilement critique. Donc ouais, c'est une critique intéressante des États-Unis et de la religion, ainsi qu'une belle déconstruction de la dynamique familiale de l'enfance du réalisateur. C'est un beau film, peut-être un peu trop calculé à mon goût, mais ça m'a quand même plu.


Bully (2001) : Ce film capture parfaitement cette réalité. Bully est inspiré d'une vraie histoire où des jeunes ont tué leur camarade en Floride. Avec une touche d'ironie et un brin d'honnêteté, Larry Clark capture totalement ce qui se passe dans la tête de ces jeunes. Pour eux, cette folie devient équivalente au genre de merdes auxquelles ils s'exposent constamment à cause de leur environnement. Au bout d'un moment, ça explose et ils font n'importe quoi. C'est totalement ça la mentalité en Floride et rend justice à cette horrible histoire en exposant de façon crue les vrais problèmes.


Network (1976) : Que dire, un de mes films préférés. Un incroyable putain de monument qui exprime de façon brillante ce que je pense de la télévision, des publicistes et de toutes ces compagnies qui empestent. C'est vraiment une pièce de son époque, tout en restant, malheureusement, intemporel. I'M AS MAD AS HELL, AND I'M NOT GOING TO TAKE THIS ANYMORE


Seeing Is Believing (1992) : Un projet vidéo, mais cette fois-ci sous forme de film. C'est très intéressant et assez complexe. Lynn Hershman Leeson joue avec le medium pour visiter divers époques de sa vie. On voit comment ses envies changent, ainsi que les impacts des actions des gens dans sa vie. Ça se transforme rapidement en quête pour trouver son père à travers tout ce qu'elle a filmé à travers les années.


Mortal Kombat: The Journey Begins (1995) : Quelle daube. C'est un film d'animation sur Mortal Kombat qui mélange du 2D et du 3D et c'est horrible. Aucun effort a été fait au niveau de l'histoire non-plus, c'est clairement juste un projet qui a été fait pour vendre des VHS à un public qui ne savait pas mieux. Ça fouette.


Phantom Thread (2017) : J'adore Paul Thomas Anderson et son dernier film, bien que différent du reste, est génial. C'est vraiment une belle histoire qui capture l'essence des relations et le rôle de l'homme dans la société de manière générale (juste regardez le nom du protagoniste). Et hey, c'est un film sans DOP et c'est magnifique !!!


Crop (2013) : Documentaire égyptien sur la façon dont les journaux sont censurés en focusant sur la révolution égyptienne de 2011. C'est pas très long et je le recommande, c'est vachement enrichissant et l'esthétique de ce docu est riche. On voit toutes les phases de la production de journaux.


Nashville (1975) : Film qui ne m'a pas charmé au début, car c'est un film de 3 heures et dès les 20 premières minutes, j'ai remarqué des trucs clés au film qui m'ont moins surpris quand ils étaient présentés plus explicitement plus tard. Mais vers la fin du film, j'ai eu ce déclic et j'ai compris la richesse de celui-ci. La scène où le public force une mauvaise chanteuse à se dénuder pour recevoir de l'attention, ça m'a frappé que la critique du monde du divertissant et du spectacle était beaucoup plus profonde que cela. C'est un ingénieux film politique se cachant derrière divers façades et une bonne vingtaine de personnages pour raconter une histoire touchante et absolument terrifiante sur notre monde. Après l'avoir vu une fois, j'ai dû le revoir et c'était un bien meilleur visionnement. Super film !


Je veux manger ton pancréas (2018) : Vraiment navré Tetouchaud, mais je n'ai pas aimé ce film... Ce n'est juste pas mon truc. Là où j'apprécie certaines idées comme [spoiler]la mort de la fille qui n'est pas dû à sa maladie[/spoiler] ou la morale de manière générale sur les dangers d'être introverti, il y a trop de trucs qui ne m'ont pas fait rentrer dans le délire. Déjà, l'animation est trop lisse et ''mignonne'' pour qu'elle ait un impact sur moi. Ça dérive de tellement de trucs populaires au Japon que ça m'évoquait la compilation de clichés mignons, comme l'abus de cherry blossom. Après, la structure était bien trop familière. Et le reste des défauts... ben, c'est le même à chaque fois. Bien évidemment, ce n'est que mon ressenti, donc ça ne veut pas dire grand chose et je respecte parfaitement ton opinion, même tant mieux si le film t'as autant parlé ! J'ai l'impression que ce film offre une vision d'enfant de 13 ans de l'amour. Tous les personnages font des trucs que les enfants de 13 ans trouveraient cools, ils communiquent comme n'importe quel produit tentant de plaire à un public de pré-ado, les situations sont toutes du déjà-vu et semblent capitaliser sur ce que ce jeune public trouve ''sexy'' (je parle de la scène de la douche, le délire de dormir sur le même lit, le délire de faire comme si qu'ils allaient s'embrasser, mais pas vraiment, le délire de jouer à vérité/conséquence, le délire du gars intello qui ne dit rien, mais qui est assurément trop intelligent pour avoir des sentiments ou des amis, et le délire de la fille vulnérable qui m'arrête pas de faire des petits sons et qui est vraiment collante avec un garçon qui n'a rien demandé, comme dans n'importe quelle fantaisie juvénile). J'ai vraiment de la misère avec cela. Et puis voilà, il y a juste ces scènes qui viennent totalement noyer le message du film. La scène de viol où elle finit par s'excuser alors qu'elle était la victime, putain... Je n'ai rien contre une situation moralement complexe, mais il faut qu'elle soit traité avec un minimum de respect. Dans ce cas-ci, ils sont juste passés à autre chose et le gars se souvient même de cela comme une expérience heureuse [spoiler]après la mort de la fille[/spoiler]. Quant à la fin, le film continuait encore un bout après le gros truc, ce qui est très normal dans les œuvres japonaises, mais j'ai l'impression que ça n'apportait pas grand chose dans cette histoire spécifiquement. Ça appuyait un peu trop sur les symboles à mon goût. Donc voilà, ce n'est juste un film qui a résonné avec moi. J'ai trouvé beaucoup de trucs gros comme le monde pour me faire ressentir quoique ce soit, le coup du [spoiler]derrière son sourire elle cache sa douleur[/spoiler] ne me fait ni chaud ni froid.


Missing Link (2019) : Film qui va en decrescendo, j'ai beaucoup aimé le début, mais ça m'a rapidement gonflé. C'est truc improbable après truc improbable, l'humour ne décolle vraiment et les parodies évidentes de Kingsman, Inception et Guardians of the Galaxy 2 n'ont pas apporté grand chose au film. Ça aurait mieux marché si le focus était sur l'histoire, au lieu de faire un blockbuster comme tous les autres. Quand je parle de trucs improbables, il y a le fait que le méchant redneck arrive à se cacher dans le bateau, ce que je peux bien pardonner, mais après y'a une femme qui parle anglais au Népal des années 1800 suivi de yétis qui parlent aussi anglais, ce qui n'est jamais expliqué... Mais le moment le plus wtf du film, c'est le putain de climax où le gars arrive à s'accrocher à de la glace avec le bout des doigts avec un million de personnes accrochés à son pied... quoi ? En plus, c'est le même gars qui n'arrivait pas à soulever un coffre. C'est terrible cette scène, en plus elle prend une éternité. Mais bon, l'animation était magnifique et ça me rend triste qu'il ait été un si gros échec au box-office


300: Rise of an Empire (2014) : Je n'aime 300 et ce film tente juste d'être 300 avec de nouveaux acteurs et un nouveau réal. On tente tellement de refaire ce qui a déjà été fait, que les nouveaux éléments apportés à l'histoire ont l'air de gimmicks. Je me suis ennuyé devant ce film.


Stargate (1994) : Pew pew pew, pow pow. C'est pas mal ça que j'ai pensé de ce film. J'ai passé un moment pénible.


Rogue One: A Star Wars Story (2016) : Bon, je crois que j'ai déjà parlé ici du fait que je ne suis pas un fan de Star Wars. Les seuls dont j'avais de bons souvenirs, c'est les deux premiers et Rogue One. J'ai détesté Rogue One en le revoyant, ce genre de film ne me parle vraiment pas. Oui, c'est pas mal mieux qu'un Star Wars habituel, grâce aux jolies visuals et la fin dramatique, mais j'ai trouvé les clichés lourds, le message ''politique'' forcé et les dialogues inintéressants. Même le robot que j'avais trouvé attachant la première fois m'a un peu fait rouler des yeux. Je n'ai pas aimé ce film.


Hara-kiri (1962) : Chef-d'œuvre. Ce film est un énormément doigt d'honneur aux traditions et est d'une richesse incomparable niveau direction artistique. C'est un long-métrage qui claque, à visionner au plus vite si vous ne l'avez pas déjà vu !


Marathon (2002) : Film indépendant sans budget se déroulant dans les métros de New York. Le tout est réalisé par Amir Naderi qui m'est très sympathique. Ce n'est pas un super film, l'histoire est un peu ridicule, mais ça a son charme. Les acteurs portent le film sur leur dos, haha.


Bad Trip (2021) : En gros, c'est Dumb & Dumber meet Borat. J'ai vu ce film l'an passé, mais apparemment, c'est considéré comme un film de 2021... En gros, le film a été uploadé par accident sur Amazon l'an passé et je l'ai téléchargé à ce moment-là, haha. J'ai trouvé que ce film est sorti facile 15 ans trop tard. Certaines farces faites avec des caméras cachées m'ont fait rire, mais rien d'autre est mémorable. C'est un road movie/buddy movie américain commercial très standard. Par là, j'entends que c'est plutôt médiocre, mais inoffensif et oubliable. Ça me fait vraiment me demander en quelle année sommes-nous...


Prison Girls (1972) : Un film érotique des années 70... EN 3D, WOOOOOOOOO! C'était drôle de voir le truc en 3D avec de vieilles lunettes, mais c'est très ridicule et bien mauvais comme film.


Comme un chef (2012) : C'est un film que j'avais trouvé rigolo à sa sortie, mais je mets ça sur le compte de la jeunesse. Je n'ai pas beaucoup ri cette fois-ci, les personnages m'agaçaient et le tout était trop improbable pour que je prenne quoique ce soit sérieusement. Le truc le plus mémorable du film, c'est la musique.

Maurry Christmas!

Message 3/3

Hara-kiri: Death of a Samurai (2011) : J'applaudis les efforts qui sont allés derrière ce remake. J'ai trouvé la première partie du film très divertissante et visuellement somptueuse, mais la deuxième partie m'a beaucoup moins plu. Moderniser un vieux film de samouraï peut être intéressant, mais ce long-métrage essayait trop d'actualiser les symboles utilisés dans son prédécesseur, ce qui nous donne, selon moi, une fin vraiment décevante. Ça aurait été drôle de voir le film en 3D par contre, ça explique beaucoup de changements qui ont été apporté, notamment la neige.


Dédé, à travers les brumes (2009) : Si vous voulez voir un excellent film québécois que vous pouvez comprendre sans trop vous prendre la tête avec la culture du Québec, visionnez ce film. C'est une histoire universelle, mais qui est aussi propre à ici. C'est un film incroyablement touchant et qui capture parfaitement ce monde artistique dont je faisais moi-même partie. Le tout tourne autour de la vie d'André Fortin, un chanteur québécois qui s'est tragiquement suicidé. Après, le seul défaut que je donnerais au film, c'est qu'il a selon moi survolé certains éléments importants de l'histoire du groupe dont il fait parti (Les Colocs), mais c'est compréhensible, car ils mettent le focus les événements qui l'ont poussé à s'enlever la vie de façon aussi brutale. Ce qui me fait autant apprécier le film, c'est sa créativité. Ils se sont vraiment inspiré du vidéo-clip et ça se voit dans l'audace de nombreuses scènes.  


Ninth Floor (2015) : Un documentaire sur mon université et son passé mouvementé au niveau du racisme. C'est filmé de façon intéressante et les gens disent des propos enrichissants, après, voilà, ce n'est pas un film qui se regarde si bien quand on a pas le contexte à l'esprit.


Le déjeuner sur l'herbe (1959) : Encore une fois, c'est un film qui va en decrescendo. J'adore le début. Le concept, les personnages, les dialogues, l'intelligence dans la façon d'utiliser la couleur et de tout mettre en scène, ça m'a vraiment plu. Mais plus le film avançait, plus le film insistait sur son message. C'est rapidement devenu lourd. On comprend le point que la nature et les émotions triomphent sur cette ère de la science et la raison. Ce n'est pas du tout un mauvais film, mais pour une œuvre si courte, je l'ai trouvé un peu longuette.


Yeelen (1987) : Film malien sur des croyances africaines sous forme d'épopée héroïque. C'est un incroyable film qui malgré une incroyable simplicité au niveau de l'histoire, arrive à capturer un endroit et des peuples qu'on ne verrait jamais à l'écran autrement. Puis les symboles et les interprétations qu'on peut avoir sur ceux-ci sont riches. Film que je vous recommande !


Jesus, Bro! (2017) : J'ai rencontré Doug Walker, Brad Jones, Malcolm Ray, etc. Je ne vais me lancer sur à quel point que je les trouve insupportable maintenant (même leurs vieux trucs), donc focusons sur ce film... En un mot, cringe. Ça essayait de balancer une vision enfantine de l'athéisme avec une critique mal fichue des films chrétiens. On se retrouve avec un film cheap qui ne veut pas dire grand chose et qui se trouve hyper intelligent pour utiliser des personnages de Channel Awesome. C'est ridicule et je ne peux même pas me dire ''Au moins, ils se sont amusés'', car les acteurs ont détesté leur expérience à faire cette connerie de film.


Welcome to the Guesthouse (2019) : Comédie coréenne assez spéciale. C'est un peu comme si Brice de Nice se prennait vraiment au sérieux :D Ça ne m'a pas totalement déplu, il y avait des bouts divertissants, surtout quand ils changeaient de caméra et de style, mais ça ne vole pas bien haut non-plus niveau histoire.


A Serbian Film (2010) : Film qui a tellement aveuglé les gens pour sa violence sexuelle exagérée qu'ils n'ont pas pris la peine de comprendre le message de celui-ci. Le but n'est vraiment pas d'être le film le plus choquant en montrant [spoiler]le viol d'un bébé[/spoiler], ça a un point solide à faire sur le domaine de la pornographie, du divertissement et de la Serbie de manière générale. Certains trucs ne se traduisent pas bien, car ils sont propres à leur culture, donc forcément, ça demande une réflexion approfondie et des recherches pour comprendre pourquoi est-ce qu'on nous montre cette compilation d'actes complètement tarés, mais ça a du sens et, je vais le dire, j'aime ce film. Je trouve que c'est légitimement un bon film, car c'est très self-aware. La première partie est rigolote tellement elle est cheesy, puis la deuxième partie c'est situation de fou, suivi de d'autres situations de fous ! L'industrie du cinéma semble être dirigée par des gens sanguinaires qui évoquent l'armée, puis l'obsession avec la violence pour faire de l'art fait directement référence à la vague noir en Yougoslavie. Le message est clair sur le fait que les masses se font violer dès la naissance jusqu'à la mort, en fait pire que ça, même après la mort ça continue. C'est un film contestataire puissant et si les masses passives sont trop bêtes pour voir cela, tant pis. Je veux, la scène du ''climax'' parle pour elle même. [spoiler]Le réalisateur en train de crever sur le sol en observant des gens nus en train de se battre à mort avec fusils qui dit ''That's it, this is cinema'', car le tout se transforme en finale de films américains qui pourrissent le monde comme les Transformers, Spiderman et autres dont on retrouve des posters dans la chambre de l'enfant de l'acteur porno.[/spoiler]


Alexandre le Bienheureux (1968) : Comédie un peu datée qui a un scénario qui me plaît beaucoup et une super fin, mais les péripéties ne m'ont pas accroché plus ça. J'admets que c'est une jolie façon de voir la vie par contre !


SPF-18 (2017) : C'est clairement un très mauvais film, mais j'ai de la sympathie pour celui-ci. C'est un film pour ado qui essaye d'être divertissant en utilisant tous les clichés imaginables de façon décontractée. C'est clairement le travail d'un homme qui n'a jamais fait de film auparavant et qui ne savait pas comment s'y prendre, donc beaucoup de choix artistiques ont été appliqués pour rendre le long-métrage plus léger et plus simple à suivre, pour ne pas ennuyer le public cible. Mais ça foire à faire cela, car les codes de vidéo youtube sont souvent incompatibles avec les films. La présentation Grand Theft Auto-esque de Los Angeles est le seul truc ''intéressant'' du film, mais je ne crois pas que ce soit une raison de réduire le film en miette, comme semble le faire beaucoup de gens en ligne. C'est oubliable, mais j'ai vu pire de gens pas mal plus connus que le type qui a fait sans savoir un film de merde pour Netflix. J'espère que la carrière d'Alex Israel n'est pas terminée à cause de ce faux pas.


Vivarium (2019) : Ce film est beaucoup trop inspiré de l'esthétique de série télé. J'avais l'impression de regarder plusieurs épisodes d'une série d'horreur et non un film, donc ce n'était pas très intéressant à suivre. La satire était trop grosse pour être pertinente et le concept ne m'a pas charmé. Il y a trop de trucs dans cet univers pour qu'on se limite à deux-trois éléments improbables pour faire avancer l'histoire. Ça


Amor y Anarquia (1973) : Premier film de Lina Wertmüller que je vois et c'était une réussite totale. Ce film possède l'une des fins les plus intenses que j'ai vu et tout été si beau ! La couleur, les acteurs, les cadrages, l'histoire, etc. Super film !


Amina (2019) : Documentaire bien dramatique sur une femme sénégalaise qui a dû abandonner sa famille pour se réfugier en Turquie. C'est une histoire bien triste, qui montre que même les gens qui font les trucs les moins agréables pour survivre ont des rêves.


Tüskevár (2012) : Film très cheap sur un élève venant de la ville qui doit passer ses vacances en campagne. D'un côté, c'était sympa de voir la nature de plein d'angles différents, mais le film reposait trop sur ça, donc tous les personnages étaient oubliables.


Deadly Excursion: Kidnapped from the Beach (2021) : C'est un téléfilm médiocre, mon cerveau a décroché. En même temps, je m'attendais à rien, à part peut-être quelques rires. Désolant.


A Little Italian Vacation (2021) : Là où j'ai eu de la sympathie pour SPF-18, j'en ai vraiment pas pour cette merde qui capitalise sur des tendances pour vendre des ''attitudes'' aux jeunes et bourrer les crânes du public plus âgé de conneries. Ce film est vraiment le fond du trou.


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Quant aux courts métrages, voici ceux que j'ai vu :

REW-FFWD (1994)
Barney Oldfield's Race for a Life (1913)
Fast and Furry-Ous (1949)
Making Movie History: Evelyn Lambart (2014)
Now! (1965)
Robert Chu's Golden Christmas Spectacular (2004)
Gerald McBoing-Boing (1950)
Toot, Whistle, Plunk and Boom (1953)
IBM Mathematics Peep Show (1961)
American Imperialism: Soviet Animation vs. the United States (1963)
What's Opera, Doc (1957)
My Financial Career (1962)
Mothlight (1963)
Astro Boy : The Brave in Space (1964)
Clown Face! (1971)
Broken Down Film (1985)
Film, Film, Film (1968)
Twirlig (1952)
Sunrise Over Tiananmen Square (1998)
Neighbours (1952)
The Hand (1965)
Darkness, Light, Darkness (1989)
The Banquet (1976)
Tango (1981)
The Cow (1989)
Au bout du monde (1999)
Three Monks (1980)
The Fox and the Hare (1973)
A Mirror of Time (1976)
Meshes of the Afternoon (1943)
Cat's Cradle (1959)
Le Voleur vit en enfer (1984)
Her Sweetness Lingers (1994)
Diastole (1994)
Glass Jaw (1991)
A Place Called Lovely (1991)
Sunshine Bob (2006)
The Cat Concerto (1947)
Spy vs. Spy (la compilation de 1997)
The Mighty Grand Piton (2019)
Oni (1972)
Mount Head (2002)
The Fox of Shichigorosawa (2015)
Legend of Lady White Snake (2018)
Je viens (2009)

Dr. Nick

J'ai légèrement paniqué quand j'ai vu Jurassic Park dans le lot vu que c'est souvent arrivé de lire ici des avis négatifs venant de toi sur des films que j'aime. ;D Blague à part, comme d'hab beaucoup de trucs que je n'ai pas vus (en même temps ce mois-ci j'ai pratiquement rien vu, merci les études), mais bon je découvre des nouvelles choses et tu m'intéresses sur d'autres dont j'avais déjà entendu parler. (Pas tenté par A Serbian Film malgré tout, même si je me doutais déjà qu'il y a quelque chose de pertinent derrière ce que ça semble montrer en lisant le pitch.)

Ah j'ai adoré Le garçon et le monde moi aussi, content de lire ton avis dessus. Enfin, ta demande aux autres de voir ce film. :D

Je me rappelle également avoir sacrément froncé des sourcils devant The Problem With Apu lorsqu'il fait tout un drame de la réponse de Hank Azaria, c'était l'ultime clou dans le cercueil pour moi, déjà que le reste est sérieusement biaisé, ignorant (volontairement ?) plusieurs choses autour d'Apu et simplifiant à peu près tout ce qu'il était possible de simplifier au lieu de tenter une approche nuancée qui aurait été nettement plus intéressante.
Ever danced with the devil in the pale moonlight ?

Maurry Christmas!

Citation de: Dr. Nick le  3 Avr 2021, 22:56
J'ai légèrement paniqué quand j'ai vu Jurassic Park dans le lot vu que c'est souvent arrivé de lire ici des avis négatifs venant de toi sur des films que j'aime. ;D

Je crois que si je n'aimais réellement pas Jurassic Park, j'aurais été très prudent de ce que j'en dis ici :D

Citation de: Dr. Nick le  3 Avr 2021, 22:56
Pas tenté par A Serbian Film malgré tout, même si je me doutais déjà qu'il y a quelque chose de pertinent derrière ce que ça semble montrer en lisant le pitch.

Te connaissant un peu, je ne crois pas que A Serbian Film te plaira. Dû au fait que les aspects choquants du film soient devenus des memes, beaucoup de gens peu informés se sont lancés dans le film et lui ont donné une très mauvaise réputation, puis je voulais faire le point sur ça ^^ Mais c'est clair que ça dépend de la sensibilité de tous. La violence est tellement extrême que c'est normal que ça aveugle et aliène une grosse partie du public, mais qui est-ce que l'audience est pour juger où est la limite de ce que nous pouvons présenter à l'écran ? Car là, ce n'est même pas une critique de comment est-ce que ça a été produit, puisqu'on peut clairement voir comment ils ont faussé plein de machins (split screen, tourner les plans avec les enfants après coup, utiliser des poupées/mannequins, etc.)

Citation de: Dr. Nick le  3 Avr 2021, 22:56
Ah j'ai adoré Le garçon et le monde moi aussi, content de lire ton avis dessus. Enfin, ta demande aux autres de voir ce film. :D

Vu que c'est un film très court que j'ai vu un matin, je crois que c'est une bonne chose de laisser la surprise aux gens, de la même façon que j'ai été surpris, charmé et voir, époustouflé par celui-ci.

Citation de: Dr. Nick le  3 Avr 2021, 22:56
Je me rappelle également avoir sacrément froncé des sourcils devant The Problem With Apu lorsqu'il fait tout un drame de la réponse de Hank Azaria, c'était l'ultime clou dans le cercueil pour moi, déjà que le reste est sérieusement biaisé, ignorant (volontairement ?) plusieurs choses autour d'Apu et simplifiant à peu près tout ce qu'il était possible de simplifier au lieu de tenter une approche nuancée qui aurait été nettement plus intéressante.

Ben ouais, c'est clairement volontaire le côté biaisé. Il a une opinion et il tente de convaincre tout le monde de cela, surtout ceux qui n'ont jamais vraiment pris la peine de réfléchir aux Simpson, comme Whoopi Goldberg ^^ Ça fait que ce docu n'est vraiment pas intéressant. La démarche me gène, mais au moins certains extraits des sketchs du gars étaient rigolos. La réponse de South Park a celui-ci me fait beaucoup rire. L'épisode insiste peut-être un peu trop avec les blagues sur l'actualité (à ce moment-là c'était Roseanne sous ambien et le procès de Kavanaugh), mais la fin est excellente.

The Phenom

Citation de: Maurice le  4 Avr 2021, 00:46
Citation de: Dr. Nick le  3 Avr 2021, 22:56
J'ai légèrement paniqué quand j'ai vu Jurassic Park dans le lot vu que c'est souvent arrivé de lire ici des avis négatifs venant de toi sur des films que j'aime. ;D

Je crois que si je n'aimais réellement pas Jurassic Park, j'aurais été très prudent de ce que j'en dis ici :D



Tu as remarqué la main du technicien qui se pose sur le raptor lorsqu'il rentre dans la cuisine avec les enfants? ^^

Maurry Christmas!

Citation de: The Phenom le  5 Avr 2021, 10:21
Citation de: Maurice le  4 Avr 2021, 00:46
Citation de: Dr. Nick le  3 Avr 2021, 22:56
J'ai légèrement paniqué quand j'ai vu Jurassic Park dans le lot vu que c'est souvent arrivé de lire ici des avis négatifs venant de toi sur des films que j'aime. ;D

Je crois que si je n'aimais réellement pas Jurassic Park, j'aurais été très prudent de ce que j'en dis ici :D



Tu as remarqué la main du technicien qui se pose sur le raptor lorsqu'il rentre dans la cuisine avec les enfants? ^^

Non, je ne l'avais pas remarqué :D Mais en googlant, je vois la frame, et wow ^^

The Reg

80 films depuis un mois, pas trop mal.

You should have left   2020
Il était un père   1942
La gueule ouverte   1974
La sentinelle des maudits   1977
Sensoria   2015
Soigne ta droite   1987
Dilili à Paris   2018
Destroyer   2018
13 rue Madeleine   1947
Une famille sur le ring   2019
Les amitiés particulières   1964
Chut... Chut... Chère Charlotte    1964
Tucker : L'homme et son rêve   1988
Les enfants terribles   1950
Alone in the dark   1982
John Wick : Parabellum   2019
La ville gronde   1937
Dark Waters   2019
Nevada Smith   1966
Cold War   2018
Arlington Road   1999
Kings   2017
Adopte un veuf   2016
Bandolero !   1968
Raccrochez c'est une erreur !   1948
Tout va bien   1972
La fugue   1975
Aurore   2016
De bruit et de fureur   1988
Judy   2019
Stan & Ollie   2018
Les chatouilles   2018
Bonjour   1959
Thoroughbreds Don't Cry   1937
Une belle fille   1944
La dernière folie de Mel Brooks   1976
Des hommes sont nés   1938
Des hommes vivront   1941
Patients   2017
Deux jours à tuer   2008
Silent running   1972
La brindille   2011
Un vol sans importance   1953
The Extraordinary Seaman   1969
Le Destin est au tournant   1954
L'ennemi Public   1957
La loi de la haine   1976
Cours après moi Shérif   1977
La chevauchée de la vengeance   1959
Maximum Force   1992
The Manipulator   1971
Belle jeunesse   1948
Videocrime   1981
L'étalon noir   1979
Une vie volée   1999
Opération clandestine   1972
Le Conte de la princesse Kaguya   2013
Le piège   1958
L'Incroyable Histoire du facteur Cheval   2019
La Jeunesse d'Edison   1940
Death on the diamond   1934
Revenge of the Red Baron   1994
Le mors aux dents   1979
L'invasion secrète   1964
Un drôle de lascar   1942
Erik le viking   1989
Flavors of Youth   2018
Babe, le cochon devenu berger   1995
Babe, le cochon dans la ville   1998
Illusion infinity   2004
Jours heureux   1934
La théorie des dominos   1977
Hellraiser : Le Pacte   1987
Little Evil   2017
The nice guys   2016
Le Guerisseur   1953
Une partie de plaisir   1975
The Quarry   2020
Floride   2015
The Call   2020


Marabout, bout de ficelle, j'ai notamment fait un rattrapage Mickey Rooney. Avec lui, j'ai beaucoup aimé le diptyque Des hommes sont nés / Des hommes vivront, sur un homme d'église (Spencer Tracy) qui ouvre un endroit pour aider les jeunes garçons à prendre un meilleur départ dans la vie, très différent des rudes foyers et maisons de corrections. Oui oui d'accord c'est daté, préchi précha, mais... ah, je dois vieillir ;D ça m'a charmé.

Sinon, j'ai entre autres apprécié : Stan & Ollie que Lenny m'a conseillé, qui est effectivement très bon, la ressemblance physique des deux comédiens est assez époustouflante et j'ai appris des choses sur le duo. The Nice Guys de Shane Black, était un  très bon film d'action/comédie... Et Dark Waters, sur avocat spécialisé dans la défense des industries chimiques (joué par Marc Ruffalo) qui veut faire éclater un scandale de pollution du groupe chimique DuPont, quitte à risquer sa carrière, sa famille, et sa propre vie..

The Reg

 :o NON ? Un Disney/Pixar qui achèEUH gagne l'Oscar du meilleur film d'animation !! Incroyable !


(Mais bon Soul était bien quand même.)