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Sujet cinéma

Démarré par stef, 3 Mar 2011, 19:35

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Maurry Christmas!

Super sympa, merci de l'avis ! :)

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J'ai vu Marie-Francine, et c'est à chier. Je vous déconseille, même si la BO est sympa et que Patrick Timsit joue un rôle attachant.

Kyioии

#9782
Citation de: Lenny Bar le  5 Juin 2017, 13:41
Mullholand Drive (2001)

Rien compris

J'ai bien aimé, j'étais à fond dans l'histoire... mais je n'ai absolument rien pigé... et quand je crois avoir pigé certains trucs je me pose des questions sur d'autres...
Parmi les questions que je me pose encore, et où je ne trouve pas de réponse claire :
- A quoi sert la scène du restaurant au début ? On ne revoit plus ces personnages par la suite (sauf à un moment furtif)
- A quoi sert la scène du mec qui en tue un autre dans son bureau et créé un véritable carnage ? C'était plutôt marrant, mais est-ce que ça a un rapport avec le reste de l'histoire ?
- Pourquoi les vieux semblent harceler cette pauvre femme ?
- Pourquoi des lilliputiens sortent d'une chaussure ? (si c'est bien une chaussure, je ne suis plus certain)
- Pourquoi les 2 femmes vont voir un pestacle en plein milieu de la nuit ?
- Pourquoi on voit une licorne sur la lune avec la tête de Lincoln ?... Non ça je l'ai inventé :) :) :)

Pour ma part, j'ai vu Mulholland Drive il y a peut-être de ça 5 ans. Je me souviens que le film est de plus en plus incompréhensible à mesure que l'on essayait de décortiquer la trame scénaristique car ça n'a juste aucun sens. Je crois me souvenir qu'il était question d'une clef vers la fin du film, et je me souviens également de minuscules êtres qui étaient étalés un peu partout dans une pièce, mais ce qui avait particulièrement captivé mon attention de jeune garçonnet pré-pubert c'était les multiples ébats lesbiens entre Naomi Watts et Laura Harring !!

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Bref ^^, depuis une semaine j'ai regardé quelques vieux films à me mettre sous la dent, j'ai principalement trifouillé dans la filmographie de Macaulay Culkin et d'Elijah Wood à dire vrai. Donc j'ai commencé cette série de film avec Getting Even with dad (1994) : Ce film met en scène une relation père-film (Ted Danson/Culkin) étonnement atypique dans le sens où le papa est un voleur amateur autoproclamé qui était jadis un pâtissier de quartier et le fils (Timmy) ayant perdu sa mère suite à un cancer il me semble va être recueilli chez sa tante mais celui-ci n'apprécie pas son oncle et va donc être reconduit chez son père biologique qu'il connaît que trop peu. Très vite Timmy apprend que son père manigance quelque chose, de ce fait, lui qui veut alimenter une bonne relation amicale avec son paternel joue sur ses sentiments en cachant l'argent qu'il a dérobé et le  fait chanter. Au cours de ce film, le père va apprendre à Timmy certaines choses fondamentales de la vie comme la pêche, le basket, la tact pour parler aux filles etc... Ils vont pour cause ainsi apprendre à mieux se connaître rangeant indirectement le père vers le chemin de la rédemption après être tombé amoureux d'une flic chargée de le traquer elle-même tombée sous son charme.

Ensuite j'ai vu Richie Rich (1994), encore avec Macauley Culkin comme acteur vedette, honnêtement le début ne m'enchantait pas des masses car il ne se passait pas vraiment grand chose, en gros Richie, l'enfant d'un père multimilliardaire (65 Milliards de $ tout de même !) philanthrope, chaleureux mais souvent absent et d'une mère excentrique, tout aussi chaleureuse et attentionné va vivre une vie plus que confortable, possédant tout ce qu'il souhaite, celui-ci se sent généralement seul (son père devant s'absenter très souvent pour gérer son entreprise) et il ne possède pas d'amis à proprement parlé. Passionné de base-ball il rêve de jouer avec des enfants de son âge, mais ceux-ci ayant baigné dans les stéréotypes sociaux vont se résoudre à croire qu'il est inutile de partager leur passion avec un enfant riche puisqu'il n'a rien à acquérir davantage. Ça c'est au début du film car Richie va insister pour jouer avec les enfants et faire un pari qu'il peut mettre un home-run, les enfants sont étonnés de le voir s'intéresser à eux, et de fil en aiguille il les invite chez lui, au même moment les "méchants" (en gros les cadres sup. scrupuleux avares et mesquins invétérés vont se mettre en tête d'assassiner les "gentils" donc les parents de Richie dans un "accident" d'avion pour ainsi pouvoir récolter les bénéfices lucratifs qu'apporte la multinational. Mais les parents survivent et vont trouver un moyen de contacter leurs fils pour retourner chez eux car ils sont paumés au milieu de l'Atlantique. Pendant ce temps le jeune garçon de 12 ans va gérer l'entreprise familial avec ses amis comme salariés (oui c'est assez perché, mais de toute évidence c'est un film destiné aux enfants donc bon :)). Les parents sont retenus en otage par les "méchants" et Richie va trouver (à l'aide de ses acolytes) le moyen astucieux de les délivrer.
Au final, le film nous montre que l'amitié ne s'achète pas et que la vrai richesse de la vie c'est l'amour et l'amitié.


...
:o

Avant-hier soir j'ai vu The good son sortir en 1993 si je dis pas de bêtise et ce film est assez dérangeant en soi. Les acteurs fétiches du film sont Elijah Wood et Macaulay Culkin (OUI ENCORE). Le film met en scène l'anxiété et l'épouvante avec pas mal de maladresse en soi (mais c'est davantage lié au jeu des jeunes acteurs qui était soit trop appuyé (avec la méchanceté et le cynisme sadique à la limite du burlesque théâtral plus hilarant que réellement effrayant de Macaulay Culkin interprétant Henry Evans) soit ayant le syndrome Anakin Skywalker dans La menace fantôme, un jeu scolaire avec un trèèèès léger manque de spontanéité). C'est un des aspects du film que j'ai trouvé un peu dommage mais le scénario en temps que tel est plutôt prometteur. L'histoire de Mark Evans, dont la mère est morte au début du film (celui-ci ne se résout pas à accepter sa mort bon en même temps il a que 11 ans ^^) qui part vivre chez son oncle, sa tante, son cousin et sa cousine (Henry et Connie). De prime abord il s'intègre bien dans la famille (il y était emmené de base par son père pour l'aider à surmonter le deuil du décès de sa mère), il s'entend bien avec Henry mais va vite découvrir qu'il est un peu dérangé et sadique envers les êtres vivants. Alors, personnellement j'ai été surpris à de nombreuses reprises par le côté diabolique de l'enfant, à chaque fois que je pensais qu'il pourrait pas être pire, ses actes me prouvent le contraire ;D, il a regardé son petit frère se noyer dans son bain sans le sauver, il a tué un chient errant avec une arbalète pour ensuite le plonger dans un puit, il a crée un épouvantail pour le jeter du haut d'un chemin pour attérir sur une autoroute, il a tenté de noyer sa petite sœur en le jetant sur la patinoire qui était craquante puis enfin a voulu tué sa propre mère jugeant qu'elle l'avait abandonné pour aller aux côtés de Mark, ajouté à cela le côté fourbe et manipulateur de l'enfant m'voyez le genre ^^...
Lorsque Mark apprend que son cousin va essayé de tué sa tante Susan, il s'empresse d'aller près d'une falaise où la tante se recueille en pensant à son enfant mort (Richard) et de stopper Henry en entraînant une confrontation avec lui. Au final ils se retrouvent suspendus au sommet de la falaise tenus chacun par les mains de Susan. Elle finira par laisser chuter son fils le tuant ainsi et de sauver son neveu Mark (le bon fils). Autant dire que ça m'a littéralement perturbé, mais le film en temps que tel est un bon petit thriller qui aurait peut-être dû avoir sa place en temps que téléfilm.



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Citation de: Kyioии le  6 Juin 2017, 18:20


Ensuite j'ai vu Richie Rich (1994), encore avec Macauley Culkin comme acteur vedette, honnêtement le début ne m'enchantait pas des masses car il ne se passait pas vraiment grand chose, en gros Richie, l'enfant d'un père multimilliardaire (65 Milliards de $ tout de même !) philanthrope, chaleureux mais souvent absent et d'une mère excentrique, tout aussi chaleureuse et attentionné va vivre une vie plus que confortable, possédant tout ce qu'il souhaite, celui-ci se sent généralement seul (son père devant s'absenter très souvent pour gérer son entreprise) et il ne possède pas d'amis à proprement parlé. Passionné de base-ball il rêve de jouer avec des enfants de son âge, mais ceux-ci ayant baigné dans les stéréotypes sociaux vont se résoudre à croire qu'il est inutile de partager leur passion avec un enfant riche puisqu'il n'a rien à acquérir davantage. Ça c'est au début du film car Richie va insister pour jouer avec les enfants et faire un pari qu'il peut mettre un home-run, les enfants sont étonnés de le voir s'intéresser à eux, et de fil en aiguille il les invite chez lui, au même moment les "méchants" (en gros les cadres sup. scrupuleux avares et mesquins invétérés vont se mettre en tête d'assassiner les "gentils" donc les parents de Richie dans un "accident" d'avion pour ainsi pouvoir récolter les bénéfices lucratifs qu'apporte la multinational. Mais les parents survivent et vont trouver un moyen de contacter leurs fils pour retourner chez eux car ils sont paumés au milieu de l'Atlantique. Pendant ce temps le jeune garçon de 12 ans va gérer l'entreprise familial avec ses amis comme salariés (oui c'est assez perché, mais de toute évidence c'est un film destiné aux enfants donc bon :)). Les parents sont retenus en otage par les "méchants" et Richie va trouver (à l'aide de ses acolytes) le moyen astucieux de les délivrer.
Au final, le film nous montre que l'amitié ne s'achète pas et que la vrai richesse de la vie c'est l'amour et l'amitié.


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Ah tiens je savais pas que Macaulay Culkin tenait le rôle principal. Quand tu vois ce qu'il est devenu ensuite  :D par contre, je sais pas si tu le savais, mais il y a une suite à ce film , sur Noël, c'est David Gallagher qui reprend le rôle de Richie.

Lenny Bar

Citation de: Kyioии le  6 Juin 2017, 18:20
mais ce qui avait particulièrement captivé mon attention de jeune garçonnet pré-pubert c'était les multiples ébats lesbiens entre Naomi Watts et Laura Harring !!

Ah ouais, c'était bien ça !  ;D  Et au moins, j'ai pigé cette scène.

J'aimais beaucoup Richie Rich quand j'étais zenfant, apparemment le film n'est pas très apprécié en règle générale. Je l'ai revu il y a 1 ou 2 ans et je maintiens, c'est un bon film. Ça ne révolutionne rien, c'est n'est pas hilarant mais c'est divertissant.
C'est grâce à ce film que je sais que TNT est l'abréviation de Trinitrotoluène... Ça ne sert à rien mais ça fait toujours son petit effet de sortir ça pendant un diner mondain.  

The good son je l'ai vu il y a trèèèèèès longtemps, et la seule scène dont je me souviens est l'une de celles que tu as décrite : "Monsieur autoroute"  ;D  Je me souviens d'un film assez spécial et dérangeant, en effet.

M. Sparkle

Bon, ça fait un certain temps que je n'ai posté mon TOP 50 films (petit jingle), alors autant le refaire.

Pas de changement majeur depuis la dernière fois (il y a toujours autant de Mann  ;D) mais quelques entrées et sorties que je vous laisse voir par vous même.

Encore une fois désolé pour la taille, je n'ai pas encore trouvé de meilleure moyen d'affichage.

Je suis l'ange de la mort. L'heure de la purification a sonnée !



"I'm just gonna die lonely and ugly, and dead"

The Reg

J'aime plusieurs de ces films. Ceux de Mann notamment, le limier, buffet froid... Il y a un quart que je n'ai pas vu, d'autres que j'aime modérément, d'autres que je n'aime pas. Mais je confirme ce que je disais la première fois que tu l'as mis, diantre ce que mon top est mainstream en comparaison au tien.

Dr. Nick

Citation de: The Reg le  8 Juin 2017, 15:01
diantre ce que mon top est mainstream en comparaison au tien.
Haha, et moi donc ! Là-dedans, y en a pas mal que je ne connaissais même pas de nom et d'autres que je doute de voir de sitôt ! ^^ Mais bon, y a des trucs que j'aime beaucoup dedans aussi (Le limier, Akira, Collatéral).

Je posterais peut-être le mien un de ces 4, mais il bouge pas mal.
Ever danced with the devil in the pale moonlight ?

Lenny Bar

Je dirais la même chose que The Reg et Dr Nick pour ton top 50 Sparkle, j'ai des goûts beaucoup plus mainstream, mais j'ai l'impression que cette nouvelle version de ton top est un peu plus proche de ce que j'aime par rapport au tout premier où je ne connaissais même pas les 3/4 des films  ;D

Parmi les films que je n'ai pas vu mais qui me tentent bien, il y a Aguirre

Les quelque films que j'ai vu cette semaine :

La la land (2016)
C'était !!!.... bien.
Vu le bruit qu'il a fait et le nombre de récompenses qu'il a ramassé, je m'attendais à un truc énorme, et finalement j'ai juste vu un bon film... C'est déjà pas si mal, j'aurai pu ne pas aimer, mais je m'attendais à mieux.
Il y a finalement assez peu de chansons et aucune ne m'a marqué, je n'en ai pas une seule en tête.
Certains passages sont vraiment beaux visuellement, et les chorégraphies impeccables comme la première scène dans les embouteillages, ou le passage du coucher de soleil.
L'histoire est agréable à suivre, bon rythme...
Et voilà, ça sera tout. C'était bien.

Cours Lola, cours ! (1998)
Le film allemand qui a inspiré Triple Erreur s12 ! Sauf que dans le film, il ne s'agit pas de 3 histoires de personnages différents qui se croisent, mais une seule histoire déclinée de 3 façons différentes et interprété par le même personnage.
Vraiment original, mais certains passages me semblent un peu incohérents. Les 3 versions sont censé se dérouler en 20 minutes, mais certaines semblent plus ou moins longue.

Boyz'n the Hood (1991)
Un film sur des jeunes noirs de Los Angeles, ça parle de flingues, de règlement de compte, bref le truc classique... mais j'ai trouvé le film incroyablement gentillet vu le thème, à part les 15-20 dernières minutes qui sont un peu plus sombres, le reste est un peu trop édulcoré.
Par exemple, on voit un gros mec baraqué qui sort de prison. Il fête son retour à la maison avec des potes et joue aux...... DOMINOS !! Ouais, ça c'est la classe !  8)

Bienvenue à Gattaca (1997)
Une histoire futuriste où les parents peuvent choisir génétiquement leur futur enfant pour qu'il soit parfait... Seulement voilà, un "non-valide" conçu de façon classique parvient à se faire passer pour un génie auprès de la crème de la crème des surdoués !
Ma fois c'était bien sympathique, mais pas extraordinary.

The Phenom

KONG : SKULL ISLAND

En ce qui me concerne, je suis partagé, je vais commencer par 2 gros points noirs :

- Franchement ras le bol d'avoir toujours ce foutu personnage "fun" "rigolo" avec des blagues de merde, encore plus énervant quand ce rôle est donné au personnage qui est coincé sur l'ile depuis un paquet d'années... ce qui brise totalement sa crédibilité, et puis c'est mal dosé, on sait jamais comment se placer au fur et mesure de l'avancée du film

- Le personnage débile donné à S.L Jackson est aberrant, je veux bien qu'il y ait un personnage de mec courageux qui aime la guerre et les combats mais là on a tellement poussé le cliché trop loin que ça en devient ridicule

Ceci dit, à coté de ça, la film est bien, les décors sont magnifique.
La première scène de Kong, face aux Hélicoptères j'ai adoré, tout comme le combat final face au gros lézard (désolé j'ai oublié le nom de la bête)

En fait, j'ai vraiment aimé comment Kong a été présenté et animé tout au long du film, pour le coup là on tient une vraie réussite du film, sans doute la seule d'ailleurs

Allez donc voir KONG : SKULL ISLAND avec l'idée seule d'être divertit et le film fera totalement le boulot. Mais pour quelqu'un qui veut une histoire avec une intrigues bien ficelé et des personnages riches, vous devrez clairement allez voir ailleurs.

Lenny Bar

Kong: Skull Island me tente bien mais vu les critiques plutot négatives ça m'a refroidi

Coraline (2009)
Un film d'animation en pâte à modeler réalisé par le réalisateur de L'étrange Noel de Mr Jack, d'ailleurs on voit que c'est le même genre d'univers avec notamment des personnages aux jambes longues et fines, et une ambiance faisant penser à un film d'horreur malgré le fait que le film soit plutôt familiale.
J'ai vraiment apprécié, l'histoire est original, les personnages attachants (la voix grave du chat est magnifique  ;D ), très bonnes musiques plutôt particulières, entre autre pendant le numéro des gerbilles de cirque.

Serpico (1973)
Je l'ai loupé pendant le tournoi de films, je me rattrape... Je l'ai vraiment bien aimé, dommage qu'il ai été éliminé.
J'aime le changement de look de Serpico qui fait ses débuts dans la police jeune et tout propre et ressemble à un clochard à la fin  ;D

L'impasse (1993)
Un bon film policier/de ganster/de mafia/polar/thriller... Appelez-le comme vous voulez, avec Al Pacino et Sean Penn avec un look improbable. J'ai particulièrement aimé la fin dans le métro

Le locataire (1976)
Film de Polanski qui me fait fortement penser à Rosemary Baby, l'histoire de base est la même, une personne emménage dans un nouvel apparemment et les voisins agissent bizarrement avec elle. Bon, là il n'est pas question de bébé mais l'ambiance est la même, assez dérangeante et faisant penser à un film d'horreur. Pas mal du tout

Harvey Milk (2008)
Déçu, je m'attendais à un documentaire sur le lait. Sinon j'ai de toute façon été déçu, c'était bien mais un peu trop lent.

The Reg

Bon, après le départ des réalisateurs du futur spin-off de Star Wars sur Han Solo, officiellement pour "divergences créatives", c'est... Ron Howard qui hérite du projet ! :o Ron, tu as encore réussi !


Citation de: Lenny Bar le 18 Juin 2017, 20:34
L'impasse (1993)
Un bon film policier/de ganster/de mafia/polar/thriller... Appelez-le comme vous voulez, avec Al Pacino et Sean Penn avec un look improbable. J'ai particulièrement aimé la fin dans le métro
Ouais, c'est exactement quoi qu'est-ce que je pense !

Kyioии

#9792
Avant-hier il me semble j'ai vu selon moi uns des meilleurs film des années 90, j'ai nommé Starship Troopers (le premier) avec en vedette le grand et charismatique Neil Patrick Harris qui est entre autres une des raisons principales pour lesquelles je suis allé dégusté ce film.
Pour commencer, de prime abord, ce film était captivant, pour ainsi dire je n'ai pas vu le temps passer, le rythme du film me fait un peu penser à celui de Star Trek (2009) dans le sens où chaque péripétie s'enchaîne d'une manière foudroyante et captivante.

Le film s'inaugure avec l'innocence d'une jeunesse future (dépeinte comme inconsciente comme conditionnée à un environnement et un système sociétale patriotique et militariste) qui s'engage dans l'armée pour aller défendre la Terre face à un système planétaire ennemi régi par les arachnides sous une pression gouvernementale à s'inscrire dans un conformisme légitime pour déboucher à une bataille sanguinaire sans-merci contre l'ennemi de tout une civilisation elle-aussi éduquée à brandir une haine envers les arachnides suite à de multiples spots militaires (une scène où des enfants écrasent des blattes en est le parfait exemple, l'exemple d'une société censé représenter le parti-prit de la Terre entière, "même si les blattes ne sont pas de géants arachnides de 2 mètres, osef ce sont des insectes donc on les butte"). Finalement, le film se clôt sur la capture du meneur de la population d'arachnide, le cerveau, un gros parasite.

Les trois personnages principal Johnny Rico, Carmen Ibanez et Carl Jenkins s'orientent tous dans une fonction différente au sein du service militaire (Rico dans l'infanterie, d'abord soldat il deviendra Lieutenant, Carmen est capitaine d'un vaisseau spatial et Carl est un docteur qui fait parti des scientifiques qui examinent la psychologie et le mode d'agissement des arachnides). En somme, chaque adolescents voient dans l'armée le moyen d'affirmer leur statue de citoyen (les propagandes déclarant qu'être citoyen permettrait par exemple une meilleure procréation).
De ce fait, suite à l'annihilation de Buenos Aires (la ville natale des trois protagonistes), la guerre interplanétaire confrontant deux systèmes géométriquement opposés dans la Voie Lactée éclate, l'argument de la prise de contrôle totale de la galaxie par l'ennemi est mis en vigueur pour attiser la colère des civils par le gouvernement.

Ce film réunissant de l'action sur demande, un scénario de SF rondement mené et palpitant avec des extra-terrestres pittoresques ne manquant pas l'occasion de broyer les intestins de millions de soldats en les démembrant sous le cri déchirant de ceux-ci et une ambiance atypique qui nous plonge dans la découverte d'un monde inconnu intriguant m'a charmé et déstabilisé par l'émotion que procure chaque missions orchestrées dans l'espace et sur les exoplanètes, en somme chaque minute à son importance dans l'intrigue, le destin des trois héros convergeant dans le même rôle.

De plus, il se trouve que ce long-métrage réalisé par Paul Verhoeven transmet également une dimension satirique remettant en cause les fondements de la société dépeinte dans Starship Troopers. Certains plans du film faisant à outrance écho à des événements historiques comme la guerre du golfe (avec les nombreux propagandes militaires segmentant le film) ou encore la guerre du Vietnam (chaque soldats se bat malgré le sort fatale et la certitude inexistante d'une vie sauve à l'issue de la guerre pourtant il n'est pas anodin de constater qu'une scène du film montrant des avions déversant des rafles d'explosifs sur les arachnides permet de comprendre que c'est une pratique bien plus efficace et stratégiquement pragmatique à contrario de l'envoi des soldats négligeable qui ne fait qu'alimenter l'effectif de morts lors de la bataille).

Ce qui est mis en rigueur et critiqué dans Starship Troopers c'est notamment le militarisme et la société dans laquelle se situe le scénario, une société conformée à prôner le patriotisme, la colonisation spatiale pour étendre l'emprise de l'humanité, une société immergée dans la propagande militaire chez les jeunesse pour appuyer le désir de s'engager dans l'armée.
En tant que spectateur, on prend naturellement parti pour l'humanité, mais finalement n'est-elle pas l'envahisseur dans Starship Troopers ?
En effet, à la fin du film, Carl déclare que le gros parasite décrite comme une punaise (dirigeant et cerveau de l'armée des arachnides) est effrayé.
La Terre a orchestrée l'offensif suite à l'impact d'un astéroïde contrôlé et prémédité par les arachnides, en revanche, tout porte à croire que c'est une énième propagande en vu de l'improbabilité de l'événement (car force est de constater que cent mille années-lumières c'est assez excessif et vaste pour avoir suffisamment de précision pour faire fluctuer un astéroïde sur une planète ;D).
Donc l'ennemi en question n'a fait que joué sur la défensive. Ce que Paul Verhoeven veut faire comprendre, c'est que le parti-prix légitime et finalement logique pour l'humanité est parfois non-justifiable, ainsi il redéfinit les codes du genre cinématographique de la science-fiction avec entre autres Starship-Troopers, en tant qu'anti-militariste, ses intentions dissimulées aux arrières de ce film étaient devinable.

Ce n'est pas parce que le mode d'agissement des extra-terrestres paraît atypique et effroyable (déchiquetage des victimes, digestion de la matière grise humaine) que ce sont forcément des monstres impitoyables sans pitié (même si esthétiquement parlant ils sont franchement dégueulasses :D). D'ailleurs une des scènes du film en est la preuve où l'on voit l’œil d'un arachnide reflétant de la terreur et de la pitié.

Enfin en tout cas, c'était vraiment un bon chef-d'oeuvre qui fait sans doute parti des meilleurs films de science-fiction à mon sens.
Foncez le voir si ce n'est pas déjà le cas ! :)

Lenny Bar

#9793
Bonne critique Kyioии, j'aime bien ce film aussi mais pas autant que toi... Voilà :)

James et la pêche géante (1996)
Après avoir vu Coraline la semaine dernière, j'ai eu envie de regarder un autre film d'animation de Henry Selick.
Un petit garçon va faire un voyage à bord d'une pèche géante en compagnies d'insectes étranges... voilà.
Encore une fois, on sent bien les similitudes avec ses autres films... on voit même un pirate qui s'appelle Skellington et qui ressemble étrangement à Jack l'épouvantail ! C'est surement une coïncidence  ;D
C'était très sympa, mais je l'ai trouvé plus destiné à un jeune public comparé à L'étrange Noel de Mr Jack ou Coraline qui eux ont quelque passages d'horreur.
Les chansons sont sympathiques mais rien de vraiment marquant.

Starman (1984)
Ça fait longtemps que j'essaie de voir la totalité de la filmographie de Carpenter, mais je m'arrête toujours en chemin. En voilà un que je n'avais pas vu avec un extraterrestre qui a pris l'apparence d'un homme mort ! Dit comme ça on dirait un film d'horreur, mais pas du tout, c'est même étrange venant du réalisateur mais le film est plutôt familial même si certaines scènes sont un peu glauques, comme la transformation du bébé en homme au début.
De l'amour, de l'humour, mais malgré tout en reconnait le style Carpenter.
C'était bien

Adaptation (2002)
ATTENTION, pour les âmes sensibles, le film dont je vais parler ne contient pas un, mais deux Nicolas Cages ! Veuillez éloignez vos Régis de l'écran.
Un film très particulier centré sur le scénariste de Dans la peau de John Malkovich qui tente d'écrire un scénario à partir d'un bouquin parlant d'une fleur. Le film est plutôt décalé, pas autant que Dans la peau de John Malkovich mais on voit que c'est le même style d'univers. La fin est complètement folle et très réussie
C'était très agréable à regarder avec les yeux !

Dark City (1998)
Un film fantastique avec des personnages bizarres dont l'allure me fait penser à Hellraiser, qui endorment toute la population d'une ville pour échanger leurs souvenirs, ce qui fait que chaque personnage se réveille avec une vie différente.
Très spécial mais plutôt sympa. On dirait un mix entre Matrix et Inception

Norbit (2007)
J'ai envie de l'appeler Le professeur Foldingue 3 vu les similitudes : Eddie Murphy qui joue plusieurs personnages, beaucoup de gags sur les gens obèses, sur les flatulences. Ça ne vole jamais très haut mais c'était pas si mal... Pas très bon, mais pas catastrophique, quelque répliques font mouches et l'histoire n'est pas désagréable à suivre.

Les ailes du désir (1987)
Le film qui a sans doute inspiré le titre Les ailes du délire - s9, à part ça il n'a pas grand chose en commun avec le film, si ce n'est qu'on y voit un ange... et contrairement à l'épisode des Simpson, le film est chiaaaaaaaaaaaaaaant ! les 3/4 du temps, l'ange écoute ce que pensent les gens sur terre. Ils ne peuvent pas le voir, l'ange peut juste les écouter. A la fin il décide de devenir mortel, et ça devient un brin plus intéressant... mais c'est relatif. (C'est comme passer de "honte" à "moins de honte")
Le film est culte apparemment, je suppose que c'est grâce à ses dialogues très philosophiques qui n'en finissent pas, perso ça m'a ennuyé.
Le seul point positif c'est l'apparition de Peter Falk jouant son propre rôle.


Lenny Bar

Double post cinéma !


Kong : Skull island (2017)

C'est un film qui me tentait vraiment mais les critiques mitigées m'ont un peu refroidi... Et bien j'ai bien fait de le voir, j'ai vraiment adoré ! Ok, c'est pas le film du siècle et il a quelque imperfections, mais j'ai vraiment pris mon pied. De l'aventure, de l'humour, une ile déserte, de grosses bestioles, tout ce que j'aime !

Contrairement à toi The Phenom, je n'ai pas trouvé que le personnage sur l'ile était énervant, je n'ai même pas eu l'impression qu'il balançait tant de vannes que ça. J'en ai bien 2 ou 3 en tête et elles étaient plutôt drôles. Et pour ce qui est du personnage de Samuel Jackson, pareil, je ne l'ai pas trouvé si caricatural, au contraire au début il est plutôt normal, et sa folie grandit de plus en plus... Je ne dis pas que ces 2 personnages sont parfaits, mais ils ne m'ont pas dérangés. J'ai déjà vu bien pire dans des films plus appréciés.

Et bizarrement, pour la scène des hélicoptères, c'est moi qui suis partagé. D'un côté je l'ai trouvé magnifique, d'un autre côté je l'ai trouvé un peu trop... TROP quoi, Kong qui démoli tous les hélicos c'était une évidence, mais je l'ai trouvé assez répétitive et j'aurai aimé qu'au moins un hélico puisse atterrir, quitte à ce que l'appareil soit détruit par la suite...

Le militaire qui survit de l'autre côté de l'île aussi m'a déçu. Bonne idée de lui donner un peu d'importance mais le dénouement est décevant.

Plusieurs personnages ne sont pas assez développés, si bien que pour certains, quand je les ai vu vers la fin du film je me suis dit "ah il est pas mort lui !?"

Kong n'apparait pas si souvent que ça à l'écran, mais bien plus que le Godzilla de 2014 ! D'ailleurs j'ai aimé plusieurs plans où il apparait, montrant à quel point il est grand et puissant (en particulier le moment où il fait face aux hélicos devant le coucher de soleil)

J'ai beaucoup aimé les autres bestioles, les sortes de lézards bien sûr, mais surtout l'énorme araignée aux pattes démesurées.

Ah et le film est beau, vraiment très très beau visuellement !

Si comme moi vous aimez les films d'aventures et/ou les grosses bestioles et/ou les îles désertes, ce film est fait pour vous !

Ce film souffre un peu du syndrome Die Hard 4 ou Jurassic World : Des scènes invraisemblables, des personnages un peu caricaturaux... mais la vache qu'est-ce que c'est divertissant !  8)


South Park, le film (1999)

Si vous me connaissez un peu, vous êtes surement au courant que je n'aime pas South Park. J'ai dû voir une vingtaine d'épisodes piochés dans différentes saisons et aucun ne m'a véritablement plu... et pourtant j'ai regardé ce film... Primo parce que je suis sado/maso (oh là là, seigneur dieuuuu), secondo parce qu'il est souvent cité dans des top des meilleurs films de tous les temps.... et euh tierco-trimo : il est dans le tournoi des films, il fallait donc que je le vois un jour...

Qu'est-ce que j'en ai pensé ?... Eh bien ce n'était étonnement pas si mal que ça ! :O  Ça ne vaut clairement pas le film des Simpson par exemple, mais c'était pas mal.

Parlons d'abord des points négatifs, ce que je n'aime pas dans la série c'est sa vulgarité, là je suis servi c'est le thème principal du film... Cartman qui dit des grossièretés en classe ou quand il se prend des coups de jus à chaque injure par exemple, j'ai trouvé ça très très lourd.
Ce que je n'aime pas non plus dans la série se sont les graphismes, je trouve ça moche, et là c'est toujours aussi moche et mal animé... ça ne ressemble même pas un film, c'est juste un épisode très long... Il y a uniquement une scène où on sent qu'ils ont voulu faire les choses en grand : Kenny en enfer, là c'est beau.
Toutes les interventions de Terrence et Philippe sont nulles... mais bon, là je pense que c'est volontaire... il n'empêche que c'est lourd et que ça plombe le film.

Mais à côté de ça, plusieurs moment m'ont plu et même fait rire. Mes passages préférés : Satan et Saddam qui jouent au vieux couple :D  Il y a aussi le coup du cœur pomme au four, le type qui vient arrêter l'alarme de sa voiture après le suicide de O'Brien, les noirs qui servent de bouclier humain, etc.

Les chansons sont nombreuses mais assez plaisantes. J'ai évidemment surtout retenu "Blame Canada"

Au final, j'ai passé un moment... correct, j'ai pas adoré, mais c'était sympathique... Je lui donne un très bon 4/20 !!... Non, un instant......... disons................. 3/20

Bon allez, je vais être bon prince : 12/20 ! Et venant de moi pour South park, c'est une très très bonne note ! Je ne donnerai même pas 12 au meilleur épisode que j'ai vu, c'est dire...


Billy Elliot (2000)

Un bon petit film sur un petit boxeur qui devient danseur, j'avais peur de m'ennuyer mais ce n'est pas le cas. C'est bien rythmé, il y a de l'humour, ce n'est pas culcul la praline,  il y a même une histoire secondaire très sympa sur sa famille qui fait grève... Bref, J'ai passé un bon moment.


La mort dans la peau (2004)

J'ai d'abord vu Djézone Burne 3, puis le 1, il fallait donc que je regarde le 2 et... comme pour les 2 autres, j'ai bien aimé mais il ne restera pas gravé dans ma mémoire. Je trouve que les 3 films se ressemblent vraiment beaucoup. De l'action, des retournement de situations, des voyages... Mais pas de scène suffisamment marquante pour que je me dise "waaah !"


Aguirre, la colère de Dieu (1972)

Il me tentait depuis un moment, et le voir dans ton top 50 Sparkle m'a décidé à le regarder. Ben j'ai bien aimé... voilà. Un peu lent par moments mais j'ai aimé la musique, les décors, le personnage d'Aguirre...