Lors d’une réunion privée au sommet de la Statue de la Liberté entre les plus grands représentants médiatiques, la décision d’introduire une nouvelle pandémie de virus aux Etats-Unis, à but commercial, est mise sur la table. Quelques jours après, c’est la crise dans tout le pays, les chats sont blâmés de porter un virus mortel et il est impératif de les éloigner dès les premiers symptômes. Homer s’empresse de vouloir brûler les affaires du chat, mais Marge l’arrête en lui apprenant qu’un vaccin est désormais disponible. Mais l’antidote est limité, et il faut attendre des heures avant de pouvoir se faire vacciner. Cependant, rien n’arrête Mr Burns : il s’empare des vaccins restants et détruit accidentellement les autres boîtes. Mais une mauvaise nouvelle l’attend de la part de son médecin : le vieil homme, souffrant de diverses maladies, est sur le point de mourir et il ne lui reste plus que quelques semaines à vivre. Il organise une fête chez lui pour annoncer son futur décès aux Springfieldiens, mais tous sont réjouis par la nouvelle suite à ce qu’il leur a fait. Alors Montgomery décide de mettre fin à ses jours prématurément…
E.T. (film)
Kyle X.Y. (série)
Powerhouse de Raymond Scott
Je dois dire que je pense la même chose sur les américains à propos de la chute de monsieur Burns, bien trop cartoon. Le premier gag passe encore, mais ils auraient du s'arrêter là. Ça ne s'arrange pas lors de la parodie d'E.T. qui suit et je dois dire que la fin m'a totalement laissée froid. Je trouve que tout l'épisode manque de rythme et franchement, je n'ai pas du tout, mais pas du tout accroché à l'histoire ! Je n'ai que très peu ri, et parfois souri, lorsqu'un pompier amène les chats sur les branches ou lorsque Burns fait une "simple" annonce. Lorsque 2 ou 3 fois je me suis dis "ah une bonne scène" la suivante se chargeait de me décevoir. Je suis déçu, je n'ai même pas envie de lui mettre la moyenne.
Dundee | 06/07/2016 à 00h48 |
9/20
Très peu de gens à Springfield diront le contraire : C. Montgomery Burns est un être ignoble qu'ils aimeraient bien voir mourir et quand il devient par les circonstances aussi inoffensif qu'un bébé c'est là que l'heure de la revanche a sonné !
On commence par les médias qui décident de faire paniquer la populace avec une maladie inventée, et on peut dire que cette partie est plutôt réussie. Un bon pic envoyé envers les gens qui sont rapides à croire aux conneries médiatiques, ainsi que des gags dispersés comme il faut, comme NBC ou la statue de glace. Burns découvre à nouveau que personne ne l'aime et décide cette fois de se suicider...
Eh puis c'est la cata...
L'épisode s'effondre complètement en même temps que Burns fait sa chute, qui d'ailleurs n'a absolument aucun sens (Comment fait-il pour survivre à une collision avec un avion ? Que fait un avion aussi près du sol et des falaises ?).
On débarque dans une histoire assez clichée sur l'amnésie où les Springfieldiens décident de se venger. L'humour devient alors absolument atroce, enchaînant les gags cartoons et/ou gores très souvent ratés (après, si ce genre d'humour gamin peut plaire à certains...). Mention spéciale au visage retourné, la pompe à crachat, Dick Cheney, le narguilé et la gentillesse ravageuse qui sont tous des gags vraiment affreux.
La conclusion quant à elle est également tirée par les cheveux, facile et déjà-vue.
Un épisode sur Burns vraiment raté, sauvé en très grande partie par la première partie.
Je suis assez partagé sur cet épisode. D'un côté, j'adore l'idée que Burns soit vulnérable face aux regards vengeurs des habitants de Springfield; d'un autre côté, je trouve ce dernier beaucoup, mais alors beaucoup, trop cartoonisé. Notamment, sa chute de la falaise et ce qui en suit ou le passage dans la zone de construction. C'est vraiment dommage qu'un si bon personnage soit utilisé d'une si mauvaise manière car j'adore cet épisode dans sa forme, parce que le résultat final, c'est pas ça. Cette idée n'eus jamais été utilisée mais, le côté cartoon est un peu trop omniprésent ce qui donne l'impression de regarder un dessin-animé Warner (pourtant j'adore les Animaniacs). Il y a assez peu de gags ou de moments mémorables mais je vais quand même vous en énumérer quelques uns : le dôme (et la remarque de Lou), Nelson à la fin ou encore les trois exemples de personnes venues cracher sur la tombe de M. Burns. La conclusion où Burns redevient méchant n'est pas très inspirée mais surprenante. Oui, Monty Burns a déjà été cartoonisé, même dans les épisodes considérés comme meilleurs de la série, exemples : dans "Aux frontières du réel", il ressemble à E.T. (même si c'est pour un gag), dans "Homer fait son Smithers", il fait une chute de 3 étages (même si on ne la voit pas vraiment et que cela peut être une exagération) mais les gens ne s'en sont pas plaint. Le problème n'est donc pas qu'il soit cartoonisé mais que cela soit omniprésent. Bref, un épisode avec un bon concept mais mal ex
Episode étonnamment décevant. Les scénaristes étaient-ils en panne d'inspiration lorsqu'ils ont décidé de faire de l'épisode un remake du film ? "Ça a déjà été fait" déclare Lenny, et je suis bien de son avis. Ce copier-coller pur et simple pèse considérablement sur mon appréciation finale. Pour ce qui est du reste de l'épisode, voici ce qu'on peut en dire : le début est intéressant et montre bien la psychose dont se régalent les médias sur des maux comme la grippe chatière (j'ai bien aimé la référence à la grippe aviaire). Mais après la cérémonie où Burns annonce aux citoyens de Springfield sa disparition prochaine, tout part en sucette. Burns veut se suicider ? Peu crédible, car ce n'est pas dans son tempérament. Smithers qui se met au service de Dick Cheney ? Leur collaboration est inintéressante au possible. Burns humilié par les habitants de Springfield ? Trop cartoonesque pour la série. Autant de points (à mon sens) négatifs. La moyenne est toutefois atteinte grâce aux gags, heureusement présents. J'ai aimé : La façon très "simple" de Burns d'annoncer à Springfield son décès imminent, l'oiseau dans la forêt qui prend la langue de Burns pour un lombric et Otto qui se sert du nez de Burns comme un narguilé. Pour conclure et malgré quelques bons gags, cet épisode ne m'a guère séduit. Trop irréaliste, trop cartoonesque, une fin honteusement remakée... Tout ça pour nous rappeler une évidence : Burns est naturellement méchant et il le restera...na !
Un bon épisode de la saison 22, mais qui a quelques défauts. Premièrement, le scénario est bien réalisé, mais il y a quelques problèmes de rythme, certains moments sont plus lent que d'autres, et cela handicappe l'épisode. Après cela, comme plusieurs l'ont mentionnés, Burns est beaucoup trop utilisé comme un personnage d'une série cartoonesque, spécialement lorsqu'il saute en bas de la falaise ou quand il se retrouve sur le chantier de construction, maie cela ne me dérange pas tant que cela. Les gags sont assez présents, et l'épisode débute bien avec la réunion dans l'oeil de la statue de la liberté. L'épisode pert un peu de sa qualité avec Burns qui sert à toute la ville, mais ça reste assez agréable. Par contre, la fin me déçoit un peu, même si elle apporte un petit taux de gags. La courte histoire secondaire avec Smithers m'a elle aussi plu, j'aime bien voir le vice-président, et sa personalité me plaît bien. Certes cette histoire secondaire est courte, mais je ne l'aurais pas vu durer plus longtemps. Quelques gags m'ont plus comme le pompier qui retourne lee chats dand l'arbre, les Springfildiens qui tentent de brûler la statue de glace de Mr.Burns avec des lighters, le siège masseur en squelette de Mr.Burns, Abe dans la pille a brûler ou encore Burns qui se fait passer pour le père de Nelson. Plutôt bon, l'épisode manque d'un quelque chose, mais je trouve qu'il reste plaisant a regarder!