Dans la cour de récré de l'école, Sherri et Terri se moquent de Lisa parce qu'elle a de grosses fesses. Cette réflexion va rapidement la contraindre à se trouver grosse. Bart quant à lui exhibe fièrement devant Homer sa note de 100 qu'il a obtenu à un test. Il exige donc que ses parents lui organise une grande fête comme ils le lui avaient promis. Malgré les efforts de Marge, Bart va vivre sa pire fête ! Marge prend conscience que ses enfants grandissent vite et qu'ils sont de plus en plus distants. C'est en se promenant au zoo qu'elle fait la rencontre de Nelson dont elle va s'occuper petit à petit, ce qui rend Bart et Lisa jaloux. Marge découvre que Nelson a pas mal de problèmes avec ses parents, notamment son père qui a disparu. Pendant ce temps-là, Lisa se met à un régime drastique pour ressembler à ses copines...

Un peu longuet à certains moments, principalement au début où ne ne voit pas trop où on veut en venir avec la fête de Bart et Lisa et son problème de poids... et quelque passages lourdingues (notamment le "canard, canard" de Ralph qui est insupportable et pas drôle ou Homer qui s'embrasse lui-même, je ne vois pas l'utilité de la scène), je trouve aussi un peu dommage que l'histoire ne se concentre sur Nelson que vers la moitié de l'épisode. A part ça, c'est réussi. Le scénario est bon, que se soit pour l'histoire de Nelson ou celle de Lisa... La fin avec le retour de Mr Muntz et le cirque est un peu poussive, mais bon, c'est tellement débile que ça me fait rire. Plusieurs bons gags : - Homer qui explique comment on doit le dessiner - Le mannequin invisible quand elle est de profil - Homer qui tente de rassurer Marge avec son "La paix de la tombe" - Le "beau" visage de Nelson sous la couche de crasse - La culotte de Mme Muntz qui tombe - Nelson qui dit à Bart de prendre le lit du dessus - L'histoire de Mr Muntz et du cirque, etc.

Quelques bons points. Primo, une histoire sur Lisa qui ne déborde pas d'originalité en soi certes, mais au moins elle est contrariée pour une vraie raison, et pas à cause d'un 84e chagrin d'amour. Deuxio, la relation entre Marge et Nelson dans l'ensemble. Mais il y aussi des mauvais points : L'histoire de Bart (et le fameux canard, canard...) et l'histoire du père de Nelson complètement bidon, sans parler de la fin d'épisode en eau de boudin. L'épisode reste assez bien construit, mais ses défauts le plombent quand même, en partie.

Un épisode assez bien dans l'ensemble avec Ralph et son canard canard canard canard canard canard canard canard canard! Bon je crois que vous avez compris de quoi je parle! Ce gag est bien mais un peu trop long! L'histoire de Lisa qui se trouve grosse est aussi très bien mais à 8 ans je trouve que c'est un peu tôt vous ne trouvez pas...

La partie avec Nelson est excellente, surtout dans sa manière d'interagir avec Bart mais le reste est trop mauvais pour maintenir cet épisode hors de l'eau.

Dundee | 03/04/2016 à 02h24 |
12/20 Comme disait l'expression : "Il faut garder ses amis près de soi, et ses ennemis encore plus près", et en fait pas du coup ici car Bart voudrait bien se débarrasser de Nelson qui vient loger chez lui !
Oui bon, Lisa se sent grosse à cause de gamineries où elle dramatise la chose. Elle offre un ou deux bons gags ("Maintenant, t'as plus le choix !") mais cette histoire ne sert pas à grand-chose.
Ah, donc Bart reçoit une fête par ce qu'il a eu une bonne note en trichant en gros ? Après il ose s'en plaindre parce qu'elle est nulle. Quel ingrat ce Bart, et c'est ça qui fait réaliser à Marge que ses enfants s'éloignent d'elle. Eh oui, ils grandissent trop vite... Mais trouvera bonheur de materner en la personne de Nelson.
Ce duo va ensemble donner lieu à pas mal de bonnes scènes (celle au bowling, le visage sans crasse, ...), n'en à déplaise à certaines comme la mère de Nelson (ses multiples apparitions sont d'ailleurs très drôles). Nelson chantonne alors sur son père qui lui manque, Bart essaiera de l'aider et... Nous avons droit à cette fin où les justifications données sont d'une bêtise sans nom, c'est donc un happy ending absolument ridicule qu'on nous sert.
Un épisode conventionnel qui offre de bons passages et d'autres qui sont moins bons.