Martin invite toute sa classe, y compris Mme Krapabelle et Skinner, à venir fêter chez lui son anniversaire. Tout le monde semble s'amuser sauf Edna qui semble un peu déprimé jusqu'au moment où Skinner vient s'asseoir à côté d'elle. Pour être au calme, Edna lui propose de se réfugier dans la maison pour enfants qui se trouve dans le jardin. Pendant ce temps-là, tous les enfants sont pris d'indigestion à l'exception de Bart et Lisa. Au même moment, Skinner embrasse Mme Krapabelle sous les yeux de Bart, qui s'empresse de le raconter à ses copains. Pour faire taire cette nouvelle, les deux amoureux proposent à Bart de modifier son dossier scolaire, en échange, il devra garder le secret...

Un épisode qui est vraiment très apprécié par les américains, mais je ne le trouve pas si fantastique. C'est même un mauvais épisode si on considère que celui-ci est dans l'excellente saison 8. D'abord, il y a des gags, mais je ne trouve pas qu'il y en a assez. Je me souviens tout de même de celui avec Ralph qui raconte ce que faisait Seymour et Edna dans la placard du concierge et qu'il a vu un oeil d'un bébé, Seymour qui veut faire croire à Bart que ce qu'il a vu venait de son imagination, Bart qui doit accompagner Seymour et Edna au cinéma pendant la nuit, Bart qui a donné ses huitres au chat et j'imagine qu'il y en a d'autre. Pour le scénario, il est bon, mais pas sensationnel même loin de là. L'idée est tout de même pas si mal, mais elle aurait pu être mieux exploité. Je ne comprend cependant pas pourquoi Chalmers refuse que Edna et Seymour reste en couple s'ils gardent leur travail. Je comprend que ce qu'ils ont fait dans le placard était déplacé, mais quand même. Je décide quand même de monter ma note de 3 points. Je sais c'est énorme, mais cet épisode ne mérite absolument pas une note en dessous de la moyenne puisque je l'ai quand même pas mal aimé et je l'avais totalement sous-estimé. Donc un bon petit 12/20 pour cet épisode.

Pour moi un des seuls faux pas de la saison... mais il faut relativiser, il n'est pas mauvais. L'histoire d'amour entre Skinner et Edna ne m'intéresse absolument pas, scénario assez simpliste et un peu trop gnangnan. Heureusement quelque gags sont là mais trop peu pour que je m'amuse réellement. Les quelque gags qui me font rire : Chalmers qui demande à Bart s'ils ont vraiment tourné le film à Atlanta, Agnès qui ne veut pas donner sa photo de gâteau à la noix de coco, Ralph qui explique ce qu'il a vu dans le placard à balai, l'école qui se transforme en dancing, les saucisses de Francfort, etc. Trop lent, pas très drôle... pas désagréable à regarder mais... bof-bof quoi.

Krapabell et Skinner, pourquoi pas. Il faut dire que dans les saisons suivantes ça amènera quelques situations sympathiques. Là, le rythme pourrait être meilleur et les gags ne sont pas hyper nombreux. Pourtant, tout n'est pas à jeter, certaines répliques sont vraiment bien trouvées. Mais ce que j'aime surtout dans cet épisode, c'est l'emballement typique des Springfieldiens pour deux ou trois mots d'enfants, et qui passent leur soirée devant une école juste parce que deux enseignants sont enfermés à l'intérieur. Le déballage final me plaît beaucoup. Un assez bon épisode tout de même.

Un épisode assez sympathique, pas grand chose à dire là-dessus.
On assiste ici aux prémices de la relation Skinner/Edna, un couple qui va durer un petit moment dans la série. Et dans l'ensemble le sujet est bien amené.
La séquence de l'anniversaire de Martin est marrante, il y a pas mal de petits gags comme le fait d'avoir mis des huîtres à la place des bonbons, c'est simple mais ça fait son effet. Et c'est dans cette séquence que l'on ressent un début de passion entre nos deux tourtereaux. Puis arrive le baiser fougueux qui officialise cette relation, malheureusement Bart a tout vu.
Et ce que je ne comprends pas ici c'est que Skinner et Edna font taire Bart alors que celui-ci devrait les faire chanter. Ici il a plein d'occasions et les manières dont il se fait couper sont pas vraiment crédibles.
Bon il finit par montrer au reste de l'école la relation secrète qu'entretiennent Skinner et Edna. Je dois avouer que les différentes versions fournies par les élèves à leurs parents sur leurs professeurs sont très drôles à entendre. Ainsi, ni une, ni deux, les Springfieldiens demandent la démission du proviseur.
A vrai dire je suis pas fan du siège de l'école mais bon ça conclut l'histoire d'une manière un peu différente des fins classiques.
Par contre le mensonge de Skinner et Edna sur leur couple est une fin très hilarante, Bart est vraiment dupe sur ce coup, c'est très bien fait.
En fin de compte il y a assez peu de gags et le scénario n'est pas non plus des meilleurs mais ça se

Ilevan | 12/04/2019 à 16h21 |
17/20 "Un épisode pas au niveau de la saison", on peut lire ça sur chaque commentaire. Je ne suis pas d'accord. Je ne suis pas d'accord du tout. A vrai dire, il est dans mon top 10 de la saison et en frôle le top 5 sans hésiter. Plutôt que de nous sortir du bouffon (les vrais faux Simpson), du très moyen (la phobie d'Homer) ou de l'inutile tellement naze que c'en est risible (un chien de ma chienne), ici le scénario se base sur des personnages présents, appréciés et les fait évoluer de façon intelligente. Arrêtez moi si je me trompe mais c'est la seule fois de la saison que ça arrive non? A côté de ça le rythme est juste parfait, posé tout du long dans la vibe de la saison 3, adulée par les showrunners (qui sont, plus que la femme de Oakley, derrière cet épisode). C'est un peu l'adieu de ce genre d'épisodes, qui font échos aux débuts de la série ; et c'est assez tragique. Le rythme est posé mais excellent, les gags idéalements parsemés mais présents (Skinner est très bon de bout en bout, les policiers sont parfaits, Homer et son porte voix c'est excellent, la réception chez Martin est très bonne)... A l'extrême limite on pourrait dire qu'il est niais, et je ne lui reprocherais pas. C'est également le chant du cygne du staff des saisons 5 à 7 qui partait progressivement saison 8, et qui laissait des traces de médiocrité laissant présager le pire -qui est arrivé- par la suite. Celui-là, toujours est il qu'il est excellent, et terriblement sous estimé ici ; à mon goût.